a mourir de vivre

elle aurait dit qu il fallait la sauver d elle même ou l aider à se rejoindre .De l enfant né roi a celui se devant au prince .Drôle d enjeu ! Que veut ce prince?faire n importe quelle route de n importe quel héro ...trouver une place nomade aux abords de la ville .Un coin de ce bleu faux miroir...d une lune de pierre .Parfois il s imaginait pomme pourrissant doucement sur l arbre ..celle qui d abord rêverait de mains enfantines puis d une limace gentille ou non .Que disent les yeux des autres ?que serait donner sa main ?A hauteur d automates à faire comme si tous devions avoir lèvres se joignant ou doigt sur la bouche comme fierté d arriver au récompense militaire.Elle aurait dit que ces intuitions étaient reines qu elle avait de quoi se suffirent a elles mêmes ...ne rien décider n être que sensations d extrêmes sans rien en attendre en éternel bug .. elle aurait dit que chaque tatouage exhume des louanges puis les larmes réchauffent comme si tous les talismans disparaissaient peu a peu .Voici l ère des bouffons ,les statues deviennent automates suspendus aux magazines .Que d anémie pourquoi joyau si si peu s en nourrissent alors que la lumière luit en chaque lucioles .C est alors qu ils définissent la terre comme si chaque grain de sable était comptabilisé ou bien le sens de ce gâtisme prétendu aristocrate .Le génie vit dans une lampe d un marché villageois aussi la révolution tunisienne.C est ce qu elle aurait dit puis aurait tout arrosé d essence.Ou de coltan pour la distance.