A Nemours

mesnil-au-pain

III.

Longues promenades, le long du canal
La tête embrumée, si peu matinal,
Il faut suivre le rythme, maintenir la cadence.

De ce stand à ce marchand,
Traînant, courant, marchant,
Stricte chorégraphie, immuable danse,

Mais enfin pas tout à fait.
Il y avait également, le café au café,
Que je n'oublierai jamais, ou alors au secours

Car oui ces jours là à Nemours
Ils marchaient leurs parcours
Et pouvaient nous regarder avec amour.

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