Anch'io
calx
L'onde meurtrie et le souvenir de ses lèvres
Quand l'aube se lève déjà endolorie
Les matins de ta grandeur
Se noient dans l'ennui
Tu aimerais embrasser l'éternité
Cette caresse se teintant d'oubli
Et le souffle de l'amer
Flattant ton mépris
Dans l'ombre d'un double nostalgique
Et de mélodies inventées
Tu te rêves corsaire désabusé
Perdu dans ces teintes tragiques
Puisque le sens éhonté
De cette danse lancinante
N'existe que par toi
Pourquoi ne pas l'oublier?
Très joli !!!
· Il y a presque 13 ans ·Pascal Germanaud
j'aime!
· Il y a presque 13 ans ·saki