Brumes
Patrick Gonzalez
C'est mon âme à la fin, cette chair qui se tord à vos mains pècheresses. Je suis la proie, le loup, l'impertinent désir, sublime chasseresse.
Je ne sais rien de vous invisible déesse, j'imagine le gout, le brûlant de vos brèves étreintes, votre souffle chaud sur mes braises éteintes.
Je reste là captif, à vos non-dits de brume, à vos silences lourds, seul au froid de l'absence et au temps qui me reste.
Immobile, vaincu je songe à vous prêtresse, ce bonheur entrevu au doux de vos caresses.
J'aime beaucoup les "non-dits de brume"...
· Il y a plus de 6 ans ·Yeza Ahem
merci yeza ;-)
· Il y a plus de 6 ans ·Patrick Gonzalez
Est-ce cela le goût du bonheur ?
· Il y a plus de 6 ans ·nyckie-alause
comment savoir ;)
· Il y a plus de 6 ans ·Patrick Gonzalez
L'absence et le rêve amplifient le désir qui déborde jusqu'à emplir l'âme , à defaut du corps ;-)) au temps qui te reste un jour peut être... ta déesse chasseresse te comblera de caresses :-)
· Il y a plus de 6 ans ·Maud Garnier
merci Maud ;-)
· Il y a plus de 6 ans ·Patrick Gonzalez
Etre privé de la connaissance de l'autre entretient le désir et la dépendance. C'est ce que tu as bien décrit !
· Il y a plus de 6 ans ·Sy Lou
grand merci à toi!
· Il y a plus de 6 ans ·Patrick Gonzalez
Prisonnier de l'amour !
· Il y a plus de 6 ans ·Louve
merci Martine
· Il y a plus de 6 ans ·Patrick Gonzalez