Chapitre 34 - CORRESPONDANCES POUR ROME ET PALERME

suemai

AMOUR, CRIMES, SEXE ET HUMOUR. Ils rigolèrent de bon cœur. Justy éprouvait tout autant de sentiments pour Sam. Environ 35 ans, une jolie femme, sans être un canon de beauté.

— Ça te dirait le jardin des Tuileries, parait que c'est magnifique.

— C'est que tu en connais des choses ma petite Pawnee, mais là nous roulons en direction du 1er arrondissement.

— Amber, s'il te plait. J'aimerais vraiment.

— Va pour le jardin des Tuileries, se découragea pratiquement Amber. Chauffeur au…

— Jardins des Tuileries, compléta-t-il. Bien Mlle.

Vanity tint à faire une partie du trajet à pied. Il faisait une journée magnifique. Le taxi les laissa à hauteur du Quai des Tuileries. Elles marchèrent jusqu'à l'entrée du palais. Vanity, de nouveau, s'émerveillait de tout. Amber prit place sur un banc et consulta son IPhone. Elle devait contacter Fletch. Elle le sélectionna.

— Fletch… Fletch… ici Amber.

— Pas besoin de décliner ton nom, je te reconnaîtrais même bâillonnée.

— Je le prends pour un compliment, alors… Histoire de tout clarifier, je me trouve sur Paris. Je voulais faire une petite surprise à Vanity. Mais ne vas pas croire qu'il s'agit d'un caprice et que mes impératifs en Italie ne sont pas…

— Ça va, Amber, on en fera pas toute une montagne. Je trouve ça plutôt attentionnée de ta part, Vanity doit être aux anges…

— Alors là, t'as pas idée, souffla Amber se sentant soulagée. J'ai déjà contacté Sam qui m'a fait un rapide topo. Et toi, où en es-tu

— Il t'a mentionné pour les véhicules?

— Oui. Ça nécessitera l'achat de chevaux.

— Plutôt une location, tu les vois revenir à Valentine trimbalant 250 bêtes. Stan a fait du repérage de ce côté. Quatre ou cinq ranchs, aux abords des Badlands, pourraient nous dépanner, Je désirais ton aval avant de donner le feu vert.

— Concernant ces points techniques, Fletch, tu n'as pas à attendre mon avis. Le Cringos se porte bien, enfin… il va se mettre à table?

— Si tu voyais sa tronche... Le « Cisailleur » enfin « Casanova », met toute la gomme. Test d'outils, repérage au feutre, prise de mesures, photographies et un tas d'autres trucs. On exhibe même son cercueil. Si tu le voyais le pauvre… J'oubliais, il se trouve assis sur une chaise supposément électrifiée. Finalement, Stan nous a fourni un grand écran avec photos satellites et point de référence qui sera émis en continu par le traceur des troupes. De cette manière, nous le contrôlons davantage.

— Du côté de tes hommes, qui dirige ton peloton?

— Désolée, j'ai omis de te renseigner. Il s'agit du sergent Mylard, Justy de son prénom. Avec Sam, ça colle déjà plutôt bien.

— Un bon meneur d'homme, parce que Sam demeure tout de même un novice de ce côté.

— Tu veux dire, une meneuse, il s'agit d'une fille, l'un des bons éléments de la boîte, un stratège né.

— T'es pas sérieux, Fletch, une fille! Tu as évalué tous les risques que ça représente! Ne serait-ce que 250 hommes en manque de sexe?

— Les gars sont bien entraînes et Justy ne risque rien. Tu peux me croire.

— Ce qui m'inquiète davantage, ce sont les cowboys de Sam…

— Sam conserve une bonne mainmise sur ses gars et il peut compter sur 10 de ses hommes pour assurer la sécurité de Justy.

— Bien, si tu le dis. Pour l'eau et les vivres, qu'est-ce que ça donne?

— Sacs de néoprène remplie à pleine capacité reliés par une sangle et portés soit à dos de mulet, ou de chevaux. De même pour la bouffe. Ça devrait aller. De plus, Gianko m'assure qu'il existe des points d'eau dissimulés. Mais ça, on verra sur place, grâce au grand écran. Toute une acquisition ce Stan…

— Oui effectivement. Pour conclure, Fletch, je dispose maintenant d'un petit programme qui me permet de sélectionner les personnes à qui je désire parler. Ce sera moins anarchique.

Sur des salutations, Amber coupa la communication.

***

— Amber, ici Stan, il y a un vol pour Rome d'ici 1h45, je peux vous réserver deux places, il s'agit d'annulations. Tu crois pouvoir y arriver à temps?

— Oui, achète les billets immédiatement. Nous partons sur le champ.

— D'accord, Amber, deux billets électroniques vous attendront à l'aéroport d'Orly.

Stan coupa.

— Vanity, Vanity, on repart immédiatement. Un vol inespéré pour Rome, grouille-toi!

Dans la voiture les menant à Orly, Vanity boudait.

— Console-toi, Vanity… mais la mission en priorité. Nous verrons au retour.

Vanity revint au monde subitement. Elle avait totalement oublié le but de ce voyage.

— Mais pourquoi Rome, Amber?

— Pour nos armes. Changement de plans, ils nous attendent à la planque des « Marie »

— Ben dis donc, elles en disposaient de lieux d'entreposage…

***

— Mais qu'est-ce qui t'arrive, Eltirra, tout à coup?

— Non, laisse Snipes, rien en ce qui te concerne, j'ai un mauvais pressentiment pour Amber et Vanity. De plus le cas de mes sœurs me préoccupe. Décidément, ce n'est pas ma journée. Tiens, amuse-toi avec mes pieds le temps que je réfléchisse.

Snipes ne se fit pas prier, ce qui finit par exciter Eltirra, qui se vida l'esprit. Sur les entrefaites, Zoey entra toute nue.

— Je peux me joindre à vous, sinon je vais devenir folle. Ça ne fonctionne pas le manuel.

Eltirra et Snipes s'en virent ravis. Zoey se laissa envelopper, insatiable à son tour. Jamais les pieds d'Eltirra ne furent aussi populaires.

***

Pendant le vol Paris-Rome, d'une durée d'environ une heure, Amber résuma toute la situation à Vanity.

— Tu as élaboré une stratégie, Amber?

— Non, j'attends d'être sur place.

— Pour Pedro. Tu crois qu'il nous filera la trace?

— Non Vanity, regarde, il s'agit du signal de son vieux traceur. Il l'a conservé. Ainsi, je peux le localiser via mon IPhone.

— Une œuvre de Stan, j'imagine?

— Oui, et je ne sais pas ce que nous deviendrions sans lui…

— Ne dis pas ça, Amber, ça risque de lui porter malheur…

— Tu peux activer ton oreillette, maintenant.

— Merde, Amber, je crois l'avoir laissée à la chambre à New York. Bordel de cuite!

— Je contacte Stan immédiatement et toi, téléphone à Banderas. Avec un peu de chance, il n'aura pas quitté la ville.

— Stan, Vanity a égaré son émetteur, tu crois que tu peux faire quelque chose?

— Je fouille sur internet et je te recontacte.

— Oui, Antonio, ici Vanity.

— Ahhhh!!! Vous ne pouvez plus vous passer de moi, rigola-t-il.

— À vrai dire, Antonio, j'ai oublié mon système de communication à l'hôtel. Tu crois que tu pourrais le récupérer, ce serait urgent. Tu pourrais me confirmer s'il s'y trouve?

— Je m'y mets, ma jolie Vanity, aussitôt de retour de Californie, d'ici deux jours maximum. Tu possèdes vraiment un corps affriolant, tu sais. Euh… pardonne-moi, c'est sorti tout seul.

— C'est tout un compliment, Antonio, maintenant je dois te laisser. N'oublie pas de me rappeler.

Vanity raccrocha toute heureuse. L'avion se posa quelques minutes plus tard.   

— On récupère les bagages et on se rend à la planque des « Marie. » en décida Amber.

***

Tout en roulant, Amber reçut une communication de Stan.

— Amber, j'ai trouvé ce que tu cherchais. Il s'agit d'une boutique spécialisée, un peu à l'extérieur de Rome et curieusement assez près de l'adresse des « Marie. » Je t'ai réservé cinq oreillettes, au cas où… je te fais un texto. Autre chose?

— Tu désactives celui demeuré à New York.

— Déjà fait, Amber. Si tu rencontres le moindre souci, n'hésite pas. Je coupe.

***

— Sam, ici Fletch, Vous approchez des Badlands?

— Une vingtaine de kilomètres, Fletch, puis ce sera la course aux chevaux.

— Du côté militaire tout est réglo, sergent?

— Cinq sur cinq, lieutenant Fletch, lui répondit Justy. Nous formons une solide équipe sous les ordres de Mr. Bucklett.

— Excellent, vous me contacterez aussitôt sur les lieux.

— Comment Mr. Bucklett, Justy, c'est quoi ce bordel? Sam et Justy coupèrent le signal des oreillettes.

— Mais Sam, tu crois que c'était le moment de lui parler de nos roucoulâtes?

— Des roucoulâtes, gémit Sam, ce n'est que ça pour toi, des roucoulâtes!

— Et bien, Sam, on ne se connaît que depuis une semaine et te voilà amoureux fou?

— C'est mal, tu crois… oui, tu me plais, et davantage à chaque minute. Pour toi, ce n'est qu'une simple rencontre, rien de plus?!

— Je ne sais pas, Sam, ça me fait peur. C'est si soudain. Ça ne m'est jamais arrivé. Il faut me pardonner…

Sam s'en voulait terriblement voyant Justy se cacher le visage et pleurer.

— Mais non, je m'excuse, je saute souvent trop rapidement aux conclusions. Tu as droit à tes sentiments… et, juste comme ça, depuis quand est-ce que ça pleure un militaire?

Ils rigolèrent de bon cœur. Justy éprouvait tout autant de sentiments pour Sam. Environ 35 ans, une jolie femme, sans être un canon de beauté. Des yeux pénétrants, hypnotiques. Assez menue, malgré son grade, elle demeurait très féminine. Elle nouait ses cheveux bouclés, tout comme Vanity, et les camouflaient sous sa casquette. Dans ses vêtements, qui la saillaient à mourir, Sam ne cessait de deviner et de contempler ses formes. Justy brillait par son intelligence et sa culture, ce que Sam ne possédait pas. Au moment où ils furent présentés, un lien se créa instantanément. Pourtant, sa bisexualité lui faisait terriblement peur. Elle vivait seule et n'avait pas eu de relations sexuelles depuis plus de deux ans. L'aspect violent des hommes la rebutait. Elle regardait Sam d'une toute autre manière. « Un type doux de nature et tellement attentionné, se dit-elle. » Ils réintégrèrent leur jeep respective et poursuivirent le trajet.

***

Amber se décida à composer le numéro de Ligninari. Elle devait savoir à quoi s'en tenir. La sonnerie se fit entendre, puis, on décrocha.

— Oui, répondit une voix d'homme?

Amber hésitait, puis il lui vint une idée.

— Ici (4), tout se passe bien (5)?...

Un silence plana un moment.

— Amber… Amber… c'est toi???

— Oui Gregorio, heureuse de t'entendre.

— Et moi donc. Tu sais pour Guiseppe?

— Oui je suis ici pour trouver une solution et empêcher définitivement ces actes de vandalisme. Mais, j'ai besoin de savoir, au départ, si tu fais partie de son clan? Tu me dois bien la vérité…

— Tu m'en vois pratiquement insulté, mais je suis si heureux de t'entendre. Non… je supervise la résistance.

Amber souffla un moment. Elle ne s'attendait pas à une telle réponse, ni réception.

— Tu es toujours en ligne, Amber?

— Oui Gregorio. Je me trouve à Rome présentement. Je dois récupérer quelques effets, et je prends le prochain vol pour Palerme. Tu crois que tu pourrais nous y attendre?

— Et qui est ce nous?

— Une grande amie qui va nous être plus qu'utile. Elle se nomme Vanity. Tu n'as rien à craindre.

— Comment, s'indigna Vanity, il se méfie de moi, ton copain?

— Mais non, calme-toi Vanity.

— Alors Gregorio, tu nous attends à l'aéroport et tu loues une jeep, je te rembourserai.

— Je m'y rends immédiatement, j'ai trop la flemme de te rater…

— Ce que t'es bébé. Loue une chambre dans un bon hôtel, c'est moi qui réglerai. Une bise. On se retrouve à Palerme.

Amber raccrocha, toute heureuse et reconnaissante. Vanity la dévisageait. Elle pouvait les compter sur le bout des doigts les moments où Amber s'abandonnait à une petite émotion.

— Je me trompe Amber, ou tu as la bise facile ces temps-ci?

— Je ne réponds pas aux questions pièges, sourit-elle.

L'hôtesse se présentait au même moment.

—  Je vous offre un rafraîchissement, mesdemoiselles?

— Bien, j'opterais pour un double scotch, et pour toi Vanity?...

***

Lorsque le rancher vit se pointer l'armée des mercenaires, il prit peur et se réfugia chez lui. Suite aux échecs répétés de Sam à lui parler, Justy tenta sa chance. Après quelques phrases, l'homme ouvrit. Justy entra et le gars ferma aussitôt, laissant Sam sur le paillasson à maugréer. Après trente minutes, Sam s'apprêtait à enfoncer la porte, que l'homme et Justy sortirent pratiquement bras dessus, bras dessous. Sam en demeurait pétrifié.

— Vous vous nommez Sam, c'est bien ça, lui demanda le type?

— Jusqu'ici, oui Mr.

— Tatatata, pas de grossièretés, restons civilisés je me nomme Jeff, et cette gracieuse créature m'a mis au courant de votre mission et de vos besoins. Avec quelques ranchers de mes amis, je crois que je peux vous arranger le coup.

« Gracieuse créature, marmonna Sam, je redeviens bon dernier sur la liste. » Justy lui fit un sourire, voilà qui le ragaillardit.

— Flesh, ici Sam tu m'entends?

— Parfaitement Sam, tout comme le sergent Mylard, s'éclata-t-il.

— Flesh, pour l'amour de dieu, tu cesses de te payer ma tête.

— Pour l'amour de dieu... je le ferai Sam, s'étouffa-t-il pratiquement.

— Merde, voilà la sergente qui négocie avec le vieux Storton, dit l'un des mercenaires, elle est plutôt gonflée.

— Lieutenant Fletch et vous Mr. Bucklett, monsieur Storton, ici présent, nous fait une proposition honnête. Comme les Cringos le harcèlent constamment, il nous offre les chevaux gratuitement, contre nos véhicules, advenant que nous passions tous à l'abattoir, qu'en dites-vous?

Fletch demeura saisi sur le coup, mais après quelques minutes de réflexion, il trouva l'idée particulière, mais pleine de bon sens.

— Qu'en dis-tu Sam?

— Ça me parait honnête. Une fois morts, les véhicules ne nous seront plus d'aucune utilité. Je marche, Mr. Storton, pardonnez-moi, Jeff. De combien de têtes disposez-vous, enchaîna Sam?

— Un peu plus de quarante. Mais quatre autres ranchers, de mes amis, en possèdent autant. Ils accepteront mes conditions.

— Bien en conclut Fletch, on parle de 200 chevaux pour plus de 250 hommes…

— Vous pourrez voyager à deux sur le même cheval en alternance, il va de soi. De toute manière, de longs couloirs et plusieurs obstacles vous obligeront à marcher, précisa Storton.

— Sam, demanda Fletch, vois auprès de tes gars si ça leur convient.

La réponse fut unanime. Un accord général.

— Plus de deux cent vingt chevaux se retrouvèrent chez le vieux Storton. On empila les sacs d'avoine, l'eau et les victuailles sur plus de 8 d'entre eux. Les chevaux furent scellés, chaque mercenaire possédant son paquetage, justement en prévision de ce qui suivrait. Pour les militaires, Fletch avait songé à tout. C'est ainsi que, sous les adieux et les bonnes chances de la petite population du coin, la légion se mit en branle. Direction les Badlands, du côté des montagnes. Pour l'occasion, Justy et Sam firent tandem, sous la rigolade, tant des mercenaires, que des troupiers.

— C'est parti. Fletch. Nous devrions atteindre les Badlands avant la nuit.

— Bien reçu, Sam, nous laissons la communication ouverte.

Sam grogna de nouveau. Ce qui fit rire Justy.

***

— Quoiiiiiiiiii Fletch, hurla Al, tu sais combien ça vaut ces camions blindés!!!

— Mais Colonel… … …

***

Amber et Vanity se rendirent à la planque des « Marie. »

— Ben, dis donc Amber, c'est plutôt cossu comme endroit.

— Oui, parfois elles achetaient des trucs pas trop mal. Allez, on se magne. Le vol est prévu pour 11h50, On ramasse tout et on file. Elles se vêtirent. Elles passèrent leur ceinturon, toutes les armes s'y trouvaient et elles décollèrent pour l'aéroport. En court de route, Amber ramassa les oreillettes. Les longs « trench », asymétriques, camouflaient bien les armes. Assises dans l'avion, elles soufflèrent un peu.

Un double scotch pour Amber, et une eau minérale pour Vanity, découragée de constater l'incontrôlable consommation d'alcool de sa partenaire.

Le vol s'effectua sans encombres. Un peu plus d'une heure. Habillées comme des stars, Amber et Vanité se présentèrent aux douanes. Aussitôt les alarmes se déclenchèrent. Tous les agents de sécurité se couchèrent au sol, revolvers en main, prêt à ouvrir le feu.

— Veuillez retirer vos… vos… vestes mesdames!!!

— Mais avec plaisir Ernesto, lui sourit Amber tout en retirant ses lunettes, c'est bien ça. Ernesto ?

— Euh… Amber!?!?!?! Hey les gars, il s'agit d'Amber!!!

— Non mais, ce n'est pas sérieux, tu as vu tout ton attirail, il y a la guerre quelque part?

— Amber tendit son badge à Ernesto.

— Ben ça… tu fais partie des services secrets… c'est pas de la frime, j'espère?

— Tiens, lis plutôt Ernesto.

— Ben ça alors, ben ça alors, ne cessait-il de répéter.

— Vanity se taisait, mais avait une envie folle de faire pipi dans sa culotte.

— Ça va les gars, elles sont réglos.

Ils se levèrent tous et entourèrent Amber et Vanity. Un peu plus et il y avait signature d'autographes. Vanity posa sa valise sur le carrousel. Tout s'avéra normal. Il en fut de même pour Amber, ce qui rendit les douaniers malheureux.

— Mais qu'est-ce qu'ils ont, Amber?

— Chutttttttttttt!

Suite à une petite bise à Ernesto, elles s'acheminaient vers la sortie, lorsqu'Amber stoppa, ouvrit sa valise. Elle s'écria :

— Les gars, voilà pour vous, et elle lança un tas de petites culottes de toutes les couleurs.

Un véritable délire. Vanity en écarquillait les yeux. Ils se battaient littéralement. Ils s'arrachaient les sous-vêtements. Amber termina en mentionnant :

— Désolée les amis, mais le temps m'a manqué pour les passer à la lessive.

La bagarre reprit de plus belle et même redoubla d'ardeur. Amber suivit de Vanity se retrouvèrent dans le hall.

— Amber, tu peux m'expliquer cette distribution de slips?

— C'est une longue histoire, je te raconterai, pouffa-t-elle de rire.

Gregorio Ligninari les repéra rapidement. Amber se jeta à son coup. Vanity le trouva tout à fait charmant et attendait, désespérément, d'être présentée. Une jeune femme patientait dernière Gregorio.

***

— Non, mais bordel de merde, je peux savoir qui tu es et ce que tu fous ici!!!...

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    · Il y a plus de 7 ans ·
    Mojitoo

    thesecretgardener

    • dis, t'as aimé ou pas :-))))) suis pas certaine

      · Il y a plus de 7 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Bien sûr que j'ai aimé ! Je reste juste dans le ton humoristique...

      · Il y a plus de 7 ans ·
      Mojitoo

      thesecretgardener

    • ouffffffffffffffffffffffffffffffff cool

      · Il y a plus de 7 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

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