Constance
max-w
Encore plongée dans les nuées de l'hiver
Ville couverte d'un immaculé tapis
Où laissent en silence mes pieds engourdis
Quelques traces effacées d'un passage éphémère
L'Imperia qui danse au bout de sa jetée
Dans un infini tourbillon ouvre le port
Et ses froides eaux claires d'un bleu givré où dort
La flottille prise dans sa gangue glacée
Constance, cité lacustre, attend son réveil
Qu'un printemps nouveau la sorte de sa torpeur
Qu'un air zéphyrien ravive ses ardeurs
Mais de la belle je n'ai vu que son sommeil
D'un charme mélancolique avant la saison
Douce et si lumineuse de la floraison.
Très joli et lumineux poème !
· Il y a plus de 6 ans ·Louve
Merci beaucoup, Louve !
· Il y a plus de 6 ans ·max-w