Crépuscule d'une Civilisation

Dominique Capo

pensée humaniste

Normalement, j'aurai dû diffuser une image concernant mes derniers achats de figurines. J'aurai dû rédiger un texte l'accompagnant pour évoquer d'une manière ou d'une autre ma passion pour les figurines. Afin, aussi, de souligner ma passion pour l'histoire, ou tout ce qui s'y rapporte et dont j'ai connaissance.


Ce n'est pas le cas. Je me sens obligé de revenir sur mon long article d'hier, intitulé « Vers un changement de civilisation ». Car j'y ai quelques précisions à y ajouter.


A vrai dire, je ne suis pas si surpris que cela que ce texte n'ait pas suscité davantage de réactions.


Premièrement, parce qu'il est long. C'est un des plus longs que j'ai rédigé au cours de ces derniers mois. En mème temps, les sujets abordés le méritaient. Et encore, il y a nombre d'aspects que j'aurai désiré y développer, et que je n'ai fais que survoler, ou sur lesquels je ne me suis pas arrêté. Dans ce cas, ce n'aurait pas été un exposé d'environ onze pages que j'aurai partagé ici, mais un livre entier. Ce que, d'ailleurs, je vais m'employer à écrire dans les prochains mois ; en utilisant comme trame de fond les plus de 600 pages sur tous ces thèmes que j'ai déjà élaborées.


Deuxièmement, parce que texte aborde des sujets liés à l'actualité plus ou moins immédiate d'une grande complexité. D'autant qu'ils sont liés à d'autres aspects – historiques, économiques, sociaux, technologiques, écologiques, etc. - dont il faut tenir compte. Ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas lorsqu'on suit l'actualité. A moins, évidemment – comme je le fais ; mais combien en font autant ? - de lire énormément sur ces thèmes, et en les creusant le plus profondément possible. A moins, aussi, comme je le fais également – de visionner quotidiennement documentaires, débats, entretiens, afin d'enrichir de façon différente ce que j'ai appris au cours de mes lectures.


Troisièmement, parce que l'immense majorité des personnes qui utilisent un réseau social comme Facebook – ou autre outil internet – ont pris la - mauvaise – habitude de penser que ceux-ci ne sont profitables que pour des phrases de quelques lignes, pour des vidéos, ou pour des images – souvent copiés d'ailleurs en ce qui concerne ces deux derniers. C'est navrant.


En conséquences, c'est là où je me rends compte qu'à force d'utiliser Facebook, Twitter, etc., les gens deviennent de plus en plus paresseux intellectuellement. Ils condensent au maximum leurs paroles ; jusqu'à ce qu'elles se transforment souvent en charabia. Ils réduisent les mots en vocables jusqu'à leur plus simple expression ; format « SMS ». Ils se contentent d'approximations, de « on-dit », de rumeurs, sont victimes de désinformations et de gens les utilisant comme relais afin de véhiculer leur propagande. Ils lancent de soi-disant bulletins remplis de paradoxes ou qui se contredisent, sans queue ni tête le plus souvent. Ils se cantonnent enfin à leur quotidien, à leurs ennuis de santé, à leurs ennuis de famille, à leurs soucis sentimentaux. Et pour ceux et celles qui essayent un peu de sortir de l'ordinaire en publiant des poèmes, des nouvelles, des romans, rédigés de leur main, ils les truffent de fautes de français qui me font dresser les cheveux sur la tète.


Voilà, on en arrive, à vouloir que tout soit immédiat, instantané, sans une once de raisonnement ou de réflexion.


De fait, il est évident que, dans ces conditions, peu de personnes osent braver des textes comme les miens. Car, en moyenne, ces derniers font quatre à dix feuillets. Et il est vrai que, lorsqu'on se met à la place d'un individu lambda tel que je viens de le décrire, quelle peut sa réaction ? Que choisit cet homme ou cette femme qui rentre du travail, épuisé, devant s'occuper de sa famille, de son ordinaire, de ses soucis personnels ? La facilité, les raccourcis, les choses qui « ne lui prennent pas la tète », les approximations qui sont aisées à retenir, et grâce auxquelles il construit sa propre vision du monde, de ses rapports avec les autres. Il les mêle aux résultats de sa propre éducation, de ses propres valeurs familiales, sociales, communautaires, territoriales, philosophiques, ou religieuses.


Et, inévitablement, il se transforme en « mouton », suivant la « masse » soumis au diktat de la pensée unique ; au diktat d'un conformisme où tout est toujours de la faute de « l'autre », de « l'étranger », de « celui qui ne lui ressemble pas ». Il se transforme en quelqu'un qui pense que ses acquis, le sont pour toujours. Que les autres ont moins de valeur que lui ; surtout s'ils n'appartiennent pas à sa communauté. Il se range derrière des valeurs associées à l'argent comme ascenseur social, synonyme d'accès au confort et au bonheur matériel. Il les voit comme des buts à atteindre, parce que c'est dans ce sens que la société actuelle, basée sur le capitalisme à outrance et l'ultra-libéralisme, l'a formaté.


Alors, moi qui écris des pages et des pages qui vont à contre-courant de ce formatage, de ce diktat auquel, je ne me soumets pas. Je le revendique. J'explique pourquoi je ne me plie pas à ceux-ci. Je détaille en long, en large, et en travers, tout le long de mes articles sur l'actualité, mes inquiétudes quant à l'évolution de notre modèle de civilisation.


Hier, l'une des rares personnes qui a commenté « Vers un changement de civilisation » a souligné le fait que l'Occident n'a pas inventé la guerre. C'est vrai !!! La guerre existe depuis que l'être humain foule le sol de cette planète. C'est dans sa nature : par peur de l'autre, par méconnaissance, par fierté, par ambition idéologique ou religieuse, par avidité de pouvoir… Les motivations qui engendrent des conflits sont nombreuses. Mais elles lui sont propres. Car, c'est la seule créature qui existe sur cette Terre qui dévore ses propres frères pour une autre raison que celle de sa survie. Il a beau être une créature intelligente, douée de raison, il est le seul capable de détruire son environnement, ou de mettre en danger la perpétuation de son espèce.


Et mes vives critiques à l'égard de l'Occident – alors que suis un français de souche, blanc, d'origine chrétienne bien qu'athée, ayant des revenus corrects, etc. - dont je suis, sont issues d'un constat : si d'autres civilisations, si d'autres modèles économiques, sociaux, ethniques, etc. ont existé ou existent, c'est l'Occident qui est le géniteur de ce système qui nous conduit actuellement tous droit dans le mur.


Pour être plus clair, je vais rappeler un certain nombre de faits récents, et que tout le monde peut aisément vérifier. Ils sont assez parlants ; d'autant qu'ils sont en rapport avec des événements qui se déroulent aujourd'hui encore sous nos yeux :


En 1981, l'URSS envahit l'Afghanistan afin de prouver à l'Occident, et aux États-Unis, qu'elle est une nation forte, et que le bloc communiste est puissant. L'échec de la Guerre du Vietnam l'a encouragé, car cette défaite américaine y a été vu comme une faiblesse, comme une preuve de l'iniquité du capitalisme, du libéralisme, et de la démocratie.


Or, cette campagne qui devait, à l'origine, sembler sans difficultés, s'est transformé en « Vietnam russe » ; un bourbier duquel l'URSS ne pouvait se retirer, parce qu'elle ne pouvait pas, comme les américains jusqu'en 1976, elle aussi, s'avouer battue. Il faut dire que les afghans étaient soutenus militairement et financièrement par les États-Unis. Leur but était d'y affaiblir les Soviétiques, sachant que leur pays était en proie à une grave crise. Les dirigeants russes n'étaient plus que des momies vivantes qui s'éteignaient rapidement les unes après les autres. Et c'est finalement le plus jeune, et le plus novateur, qui a pris les rennes, en lançant sa « Perestroïka ».


Ceci dit, les États-Unis ont donc formé, financé, armé, des tas de petits groupes de rebelles harcelant les troupes d'occupation. Parmi eux, il y avait les Talibans. Mais aussi, une petite troupe menée par un dénommé Oussama Ben-Laden. Cet homme, ainsi que son groupuscule, issu d'une riche famille saoudienne, a, lui aussi, été formé, financé, armé, par l'Amérique durant toute la guerre soviéto-afghane. Il était un allié efficace, indispensable, à la politique d'affaiblissement de l'Empire Russe, menée par les Américains.


J'insiste ici qu'il faut se resituer dans le contexte de l'époque : cette guerre froide finissante où les enjeux géo-stratégiques étaient tout à fait différents de ceux d'aujourd'hui


En tout état de cause, une fois les Russes partis, il a été facile aux Talibans de rallier la majorité des rebelles à sa cause. Rares ont été ceux comme le commandant Massoud, à s'opposer à eux. Oussama Ben-Laden, lui, a vu une occasion unique d'y instaurer un émirat musulman ressemblant à celui qu'avait établi le Prophète et ses successeurs. Et ainsi revenir, selon lui, à un Islam tel qu'il était à l'origine.


Inspiré par les Frères Musulmans et leur doctrine née en Égypte dans les années 1920, il a fondé Al Qaida. Et de la mème manière que les Frères Musulmans de jadis qui se basaient sur leur foi prise au pied de la lettre afin de repousser l'occupant anglais – et donc occidental – or des frontières d'Egypte pour y créer un émirat, il s'est allié aux Talibans dans ce but. Là encore, le contexte était encore différent. Il se situait durant la Colonisation, et la mainmise des « empires français et britannique » sur l'ensemble de l'Afrique.


Je conçois qu'il soit difficile de réaliser pour ceux et celles qui ne sont pas informés de ces choses-là, que des faits aussi éloignés dans le temps puissent avoir une influence directe avec des événements actuels. Et pourtant..


Cette doctrine, et cet objectif en tète, Ben-Laden a considéré la première Guerre du Golfe comme une abomination. Comment, selon lui, les Émirats Arabes, ainsi que tout le monde musulman, ont-ils pu adhérer à une coalition menée par les États-Unis, et plus largement, par l'Occident ? Des non-musulmans foulant de nouveau le sol de la Terre sacrée des vrais Croyants, c'était impensable. Et pour quoi, pour défendre des intérêts pétroliers dans la région ? Pour alimenter en pétrole des automobiles, via des multinationales dirigées par des occidentaux, ou par des traîtres arabes et soi-disant musulmans, c'était inacceptable. Il tait, pour lui, inadmissible que, pour des intérêts purement occidentaux, des étrangers à la foi musulmane prennent pied sur des Territoires saints. Ou que des musulmans l'autorisent afin de s'enrichir ; au détriment de leurs croyances en Allah, et de leur promesse de protéger le tombeau du Prophète, Médine, la Kaaba, contre les infidèles.

Là aussi, je sais que cela peut nous paraître, à nous français, américains, etc, complètement fou. Et cependant, si on ne comprend pas, et si on n'accepte pas que des gens puissent penser ainsi, alors, on ne peut comprendre ce qui a suivi, et ce qui se perpétue actuellement.


Cette trahison, aux yeux de Ben-Laden et d'Al-Qaïda, a renforcé son idée de bâtir un émirat pur, et de revenir aux sources mêmes de l'Islam du temps du Prophète. D'un autre coté, il a vu en les pays occidentaux, États-Unis en tète, des impérialistes désirant s'approprier les lieux saints de l'Islam à leur profit. Les salissant par la mème occasion. Il a vu la première guerre du Golfe comme un retour au colonialisme d'antan ; ce colonialisme qu'en leur temps, les Frères Musulmans avaient combattu en Égypte.


Sa seule option était de porter un coup fatal au symbole même de la puissance occidentale, et en premier lieu, de celle de l'Amérique désormais honnie. On connaît la suite : le 11 Septembre 2001, l'invasion de l'Afghanistan par les États-Unis, la France, l'Angleterre, etc. L'éclatement d'Al Qaida en diverses mouvances qui se sont dispersées de la péninsule Arabique à l'Afrique de l'Ouest. L'invasion de l'Irak voulue par Georges W. Bush afin de mettre la main sur les réserve de pétrole de ce pays. Et par la même occasion, terminer le travail de Bush père lors de la première Guerre du Golfe ; en chassant Saddam Hussein du pouvoir. Printemps Arabe en Égypte, en Libye, en Tunisie, au Maroc. L'entrée en scène des groupuscules issus d'Al-Qaïda pour rassembler autour d'eux anciens soldats de Saddam Hussein, anciens partisans de Khadafi, anciens partisans de Moubarak, bandits, djihadistes de tous poils, etc. sous une seule et unique bannière : Daesh et consort. Attentats de Madrid, de Londres, de Belgique, de Turquie, de France. Proclamation de l'existence de l'Émirat de Daesh à cheval sur l'Irak et la Syrie. Immigration de masse de millions d'habitants de ces deux pays pour tenter de trouver refuge en Europe. Endoctrinement de jeunes européens via Internet, afin de les transformer en bombes humaines destinées à déstabiliser nos nations, et ce qu'elles représentent aux yeux des héritiers de Ben-Laden, ainsi que de l'idéal de celui-ci. Le reste, l'actualité nous le rappelle tous les jours.


Evidemment, tout ceci n'est qu'un résumé. Déjà assez long il me semble. Mais nécessaire afin de souligner à quel point des événements considérés comme éloignés dans le temps, ou insignifiants parce que s'étant déroulés à l'autre bout de la planète, peuvent avoir une influence directe, à court, moyen, ou long terme, sur notre mode de vie. Et encore, il ne s'agit là que de l'un de multiples soubresauts auxquels est confronté notre civilisation aujourd'hui. J'en ai détaillé ou survolé d'autres dans mon texte intitulé « Vers un changement de civilisation ». J'en ai exploré d'autres encore dans d'autres articles semblables par le passé.


Dès lors, ceux et celles qui se contentent des simplifications, des raccourcis, des approximations, etc. ne font que participer à ceux-ci. Leur ignorance, leurs préjugés, leur individualisme se contentant de se centrer sur eux-même, ou sur leurs acquis, leurs privilèges, se retournent fatalement contre eux un jour ou l'autre. La méconnaissance, la nécessité du quotidien, les obligations professionnelles, familiales, personnelles, n'excusent pas tout. Elles ne sont que des prétextes pour ne pas se sentir concerner par ce qui se passe ailleurs. Elles ne sont que des prétextes pour s'écrier : c'est de la faute de l'autre.


Néanmoins, à chaque fois que j'étudie un des aspects de l'actualité lointaine ou récente, il y a une idée qui ne me quitte jamais : le monde, l'humanité, la civilisation, etc. sont d'une complexité incroyables. Ce qui s'est passé autrefois, mème il y a des décennies ou des siècles, est inextricablement lié à notre présent. Et la manière dont réagissons aux divers aspects de notre présent auront forcément des conséquences sur comment nous envisageons notre avenir. Et de quelle manière celui-ci se matérialisera. Et en cela, nous sommes tous concernés, tous responsables.


En tout cas, moi je me sens concerné et responsable, si pour vous ce n'est pas le cas. Et c'est pour ces raison que j'écris ces textes. C'est pour ces raisons que je dissèque ces thèmes au point de vouloir transformer ces articles en livre. Ne jamais oublier ce que nous devons à ceux et celles qui nous ont précédés, que ce soit dans ce qu'ils ont accompli de bien ou de mal, dans leurs combats, dans leurs réussites ou leurs échecs, dans leurs victoires ou leurs défaites, leurs rêves ou leurs illusions, etc. Car ce ce que nous sommes aujourd'hui, et ce que nous allons léguer à nos enfants, en dépends. Et si vous aimez les vôtres, alors vous vous préoccupez de tout ce que je tente de partager avec vous au travers de mes textes.


Sinon… eh bien sinon, laissons œuvrer des hommes tels que Trump, Bachar-El-Hassad, Poutine, Le Pen, etc. Fermons les yeux ; comportons nous comme des moutons, et participons passivement à l'effondrement inéluctable de cette civilisation dont nous avons hérité. Attendons, la tète cachée dans le sable, que l'orage passe, tout en sachant que celui-ci va nous emporter, nous aussi, et que nous ne nous en relèverons pas. Si vous êtes résolu à suivre cette voie, moi pas. Et tant que j'aurai la possibilité d'essayer d'éveiller - un peu – les consciences de ceux et celles que je suis susceptible d'atteindre par mes mots dans le but de les faire réagir, je le ferai. Jusqu'à la dernière limite de mes forces. C'est ce à quoi j'adhère depuis toujours, et pour toujours, du plus profond de mon âme et de mon cœur…

  • Il est bon de rappeler que rien n'est anodin à l'échelle mondiale, qu'une action peut être anodine mais/et aura une répercussion plus tard énorme ; la fameuse théorie de l'effet papillon. Pas un jour ne passe sans que je lise plusieurs sources francophones et étrangères de ce qu'il se passe dans le monde, en essayant de percevoir ce qu'il va en résulter. Exercice difficile et délicat. Une question que je me pose souvent : Lorsque nous aurons résolu notre dépendance énergétique avec le pétrole et ses dérivés, le monde en sera-t-il plus calme ?

    · Il y a environ 7 ans ·
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    Marcus Volk

    • non, car d'autres enjeux viendront les remplacer ; il en a toujours été depuis les débuts de la civilisation humaine ; il en sera toujours ainsi jusqu’à son extinction...

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • non, car d'autres enjeux viendront les remplacer ; il en a toujours été depuis les débuts de la civilisation humaine ; il en sera toujours ainsi jusqu’à son extinction...

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • Nous sommes trop nombreux. Le capitalisme a vécu.

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Ca aussi, c'est vrai !!! Mais dans les décennies a venir, avec le taux de natalité décroissant en Occident, la courbe s'inversera ; tandis que le taux de natalité augmente dans d'autres parties du monde moins riches ; compliqué a détailler ici en deux mots ; et capitalisme ou pas, ce facteur est essentiel ; on pourra remplacer par un autre système, ce fait demeurera

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • Hum. Taux de natalité décroissant en Occident : D'où le "repli sur soi" de nos compatriotes de confession judéo-chrétiennes ; montée du populisme, etc. Mais sans politique de natalité encourageante, pas de cotisation retraites ni paiement des futurs retraités. Le serpent se mord la queue.

      Déjà : abandonner la notion d'un "chef" et adopter un parlement comme dans les pays nordiques, cette fameuse république qui n'existe que sur le papier : Faire une recherche sur Google

      Capitalisme : il faudra bien le remplacer par autre chose de plus constructif et viable pour l'ensemble des humains, déjà vis à vis des ressources naturelles qui s'épuisent.

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Pardon : 6ème république...

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Je suis d'accord avec vous, mais entre la théorie et la pratique, il y un fossé que beaucoup ne désirent ou n'osent pas franchir ; le conformisme est tellement confortable. Oui, je suis plutot en faveur du fonctionnement des pays nordiques ; mais ils sont toujours en avance et nos politiques ne prennent que rarement exemple sur eux - trop rarement. Quant aux ressources naturelles qui s'épuisent, je suis d'accord aussi, mais tant que le portefeuille prévaudra sur l'intérét général, nous demeurerons dans cette impasse qui nous mène tout droit dans le mur. Hélas. Pire, tout le monde en est conscient. Mais ceux qui pourraient changer les choses n'y voient aucun profit... Une fois encore. Si cela vous intéresse, j'ai plus de 600 pages ou j'aborde les différents aspects de ce sur quoi nous conversons...

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • Pourquoi pas. Je vais déjà m'attacher à lire vos écrits sur wlw.

      Plutôt que d'écrire dans votre coin pourquoi ne vous rapprochez vous pas d'un "think-thank", je pense que certains seraient intéressés.

      Il y a en effet tant à dire. A faire. La Nature fait bien les choses, elle se rebellera (cataclysme, pandémie, etc) et j'espère seulement que parmi les survivants il y en aura qui auront la conscience de batir qq chose de nouveau.

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • je ne connais pas "think-thank", qu'est ce ?

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • Think-Tank pardon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Think_tank

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • Vous en faites partie : oui, je viens de lire sur Wikipedia ; ça a l'air intéressant, j'avoue que cela me plairait beaucoup de participer à ce genre de choses ; sinon, pour lire d'autres articles de moi, soit sur Atramenta, soit sur mon blog, soit sur Facebook...

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

    • Non je ne fais pas partie de ces groupes ; je fais partie d'un autre groupe de réflexion mais lié à ma profession (rien à voir) ; ok je lirais tout ça (j'ai déjà trouvé les liens). Au plaisir.

      · Il y a environ 7 ans ·
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      Marcus Volk

    • ok, a plus

      · Il y a environ 7 ans ·
      4

      Dominique Capo

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