De la notion de couple.

L'humanité, au départ -du moins il me semble- c'était des ramapitèques, auxquels succédèrent les  Australopithèques puis les...enfin bref... et ces primates là, du moins je pense, ne songeaient pas ...Oui bin c'est comme ça ! je ne sais pas comment finir ma phrase. Z'avez qu'à bosser un peu !

Je doute quand même un peu que la notion de "couple" ait été à l'ordre du jour en ces temps-là. Nous avons tous et toutes en tête l'image de l'homme prognathe tirant par sa longue chevelure la femme des temps anciens afin de lui faire subir un mauvais sort dans la caverne conjugale. L'animal ne songeait pas à marier la mignonne mais juste à lui ratiboiser le bunker, ou mieux encore à lui poncer le fagot.

http://milleviesplusune.over-blog.com/2016/03/de-cricon-criquette-au-plan-cul-les-mots-de-l-amour-3.html

  Chasser le bizon et le mammouth était peut-être d'avantage dans les priorités de ces êtres là, plus occuper à faire bouillir la marmite et à échapper aux dangers de la vie qu'à se passer l'anneau au doigt, j'en mettrais ma main à couper. 

Après, je m'avance peut-être un peu car je n'ai pas vécu à cette époque.

Il me semble que c'est surtout d'un point de vue religieux qu'il faut mirer la chose.

Le mariage, instauré par la religion( les religions) impose une fidélité conjugale bien compliquée à respecter quand le besoin de faire l'amour se fait ressentir chez l'un (souvent l'homme) et le besoin de "fiche-moi la paix, j'ai la migraine" déboule chez l'autre (souvent la femme donc).

​Après s'être approprié un mâle, lui avoir fait au moins un descendant, l'épousée considère qu'elle a fait son boulot et (sauf exceptions nombreuses heureusement) ne s'en tient plus qu'à son rôle de mère et de "propriétaire" du mâle qui la fécondit ou fécondât, je sais plus et je m'en bats l'œil.

Qu'il ait encore envie de jouer à cricon/criquette dans le lit conjugal, ou sur la table de la cuisine, ou dans le pré au milieu des bleuets, elle s'en fiche la meuf.

C'est son keume, il doit s'y faire un nœud et renoncer à toutes manœuvres séssuelles que ce soit avec elle ou sans elle. Car je pense que ce genre de personne ne supporterait même pas l'idée que sa moitié se fasse pleurer le cyclope en matant des films cochons (ou pas) ou en lisant des trucs coquins ce qui est ballot car c'est un peu mon fond de commerce soit dit en passant.