Denis belle pine...

Jean Claude Blanc

encore un politique pris dans la main...au panier, écologiste à sa façon habille son homme...au pouvoir même sur les dames

                             Denis « belle pine »

Sacrée santé, mastard Baupin

Prêche l'air pur que pour la frime

A ses fidèles, palpe les seins

Comme par hasard son patronyme

Au féminin, çà fait « belle pine »

Ça en dit long sur son intime…

 

Petit crâne d'œuf à l'Assemblée

Vice-Président, genre obsédé

Tellement le diable dans la peau

Aux dames gratouille le bas du dos

Discrètement pour rigoler

Raffolent de ça, ces mijaurées…..

 

Sa chère et tendre, pas au courant

Elle-même ministre du logement

Bien mal lotie, cette jeune maman

D'être la risée du Parlement

 

Son mac sans gêne, s'envoie en l'air

Pour se prouver qu'il est bien vert

Lui qui bannit le nucléaire

Est animé d'un dard d'enfer

 

Sage écolo, il fait le job

En défenseur des droits du zobe

Gorille sauvage, par sa nature

Aux jeunes pinups, mène la vie dure

 

Se dit après tout, on n'est que des bêtes

Tous travaillés par la quéquette

Alors pour sauvegarder l'espèce

Consciencieusement use de son sexe

 

Rustre député, pas une lumière

Prend ses secrétaires comme serpillères

S'il est déçu, leur tape dessus

Les accusant ces vieilles morues

D'avoir le feu au train arrière

 

Toujours d'attaque pour le cul

Etant connu et respecté

Une vraie chance de cocu

Impossible de le suspecter

Ses victimes n'osent le dénoncer

 

En est ainsi de ces vedettes

Qu'à la télé pointent leur binette

A première vue, pas fous furieux

Mais secrètement, épris de leur queue

Osent mettre en cause les médias

De les reluquer pour faire recette

Même si c'est pas du cinéma

Vont porter plainte, afin qu'enquête

Un renommé cher avocat

 

Certes les rumeurs vont bon train

Même s'en régalent les citoyens

Un écolo, ça tombe à point

Qui trie l'ordure, de ce qu'est sain

 

Lui qui chasserait pas une mouche

Pas peur s'en prendre aux saintes nitouches

Une de ses proches, c'est plus pratique

Qui doit céder, sinon elle gicle

Passée dehors, par trop pudique

 

Un mot, un geste, pas la galère

Le mâle s'estime, dragueur fier

D'en être puni, c'est pas logique

Lui qui honore la République

 

Pour une fois se sont confiées

Quelques souffre-douleurs, tripotées

Risquant leur place, être moquées

Se sont permis tout balancer

Ainsi de suite, langues se délient

Y'en a des masses de ces vicieux

Qui s'efforcent mettre dans leur pieu

Des filles soumises à leurs partis…

 

Plus qu'ailleurs, au pouvoir

On trouve de ces types, gros malabars

Qui se permettent tous les droits

Même de niquer Marianne, l''Etat

 

Femelles à tout faire, considérées

Pas bonne cette fois la parité

Droit de cuissage, encore de mode

Pour ces baiseurs, c'est plus commode

 

Moi qui croyais avoir tout vu

De cette France qu'est à la rue

Pleines de chômeurs, qui piquent leur crise

Cet acte obscène, quelle surprise

Denis bouquetin, fait l'évènement

Comme enragé, ignoble amant

Ne mettrai pas son nom dans l'urne

Il a beau se casser les burnes

A l'amour bio devrait s'y mettre

A son oiseau, clouer le bec      JC Blanc  mai 2022   (ma revue de presse, pas d'aujourd'hui)

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