rythment la musique des rêves
Inavouables accords du jour qui se lève
Faisant naître sur nos deux corps dénudés
L'ivresse d'une lumineuse pluie de baisers
Instant magique, euphories sur la grève.
J'aime quand vagabonderont mes mains
Tressant autour de son cou et son visage
Un millier de caresses, doux présage
De dentelles d'étoiles à broder au petit matin.
J'aime quand aborderont ses rivages blancs
Tout contre les dunes de ses berges blanches,
Quand dans ma tête, je vois s'envoler les dimanches
Et le frisson des oiseaux blancs oubliant le temps.
J'aime du jour, la nuit qui vient, pleine de candeur,
Me brûler à son corps de cette soif de soleil,
Et que l'ombre apaisante qui survient et nous éveille.
De ses vents fous du désir nous apportant mille langueurs.
Mes étreintes sauvages portent mon corps
Sur l'onde d'un océan de désirs qui chavire.
Nous enivrant de brunes fiévreuses qui délirent
Dans mes bras amoureux, elle ressentira cent mille accords
Oh comme j'aime ce rêve de ciel bleu puisé en ses yeux.
Et mes douces mains sur ses hanches qui la serrent,
J'aime ce lagon de plaisir qui l'invite et l'enserre
Jusqu'à ce que l'éternité nous amène en ses cieux.
inavouables accords et autant d'inavouables désirs. Ces accords sont sublimes et demandent à être plaqués
· Il y a presque 7 ans ·marivaudelle
D'un romantisme fou, c'est très beau !
· Il y a presque 7 ans ·Louve
Très beaux accords bien rythmés comme la musique de deux corps enlacés.
· Il y a presque 7 ans ·Sy Lou