DES ROCHERS À CROQUER POUR LES HÊTRES

Philippe Larue

Aucun paroissiens, aucune citoyennes et nulles âmes navets préoccupées son regard courtois à l'intérieur de la délabrée bâtisse du XIXe siècle, une bibliothèque dépossédée de son esprit.

La littérature italienne se branlait les pêchés sur le rayonnage, oscillé par le vent qui s'y engouffrait, aux odeurs de tomates confites. L'étagère de Pise aïolo plus qu'aïoli, emprisonnait Trois-Gros ouvrages, timides avec les confidences des tomes de mores. Á ses côtés, le vide qui sidérals, des rots de Malraux et des Rothman's de Philip. Le vide des hêtres ruinées. Seul, l'empyreume du vernis noyers dans l'éther et qu'avait souhaité chloroformes géométriques de sa prestance, le pénis tant scié jauni.

Haleine ou à tribord, Verlaine de l'Ain qui avait perdu son chandail aux pôles magnétiques de maudits à toutes hâtes, dans le tumulte d'Eden de sagesses et de Molière.

La mappemonde de Miss Marple se gobergeait coïtée vers un papyrus, ma foi en corps alerte à Malibu : les gros seins...les Bouddha de l'haïku. D'ailleurs, les chaises-Dieu et Lachaise du père de Quimper...Au fait, les Quint de toux avaient la paire du sirop? Bref, mon allégresse Allais de Sisley à Biolay, car deux hêtres se pavoisaient le houppier avec Racine et La Bruyère d'Hyères qui Boileau gazeuses de CO2 à La Fontaine. Et les pompoms d'y attendre le Nirvana de l'Arc-en-ciel, afin que les houppettes des chouettes s'y  dreadlocks!

Cette impression que ses hêtres réverbéraient des livres de sèves, de Babylonne à Constantinople et Rangers aux côtés de ceux qui avaient l'USA, croqué et grignotté par des trompettes mortelles, était forte.



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