Deux centristes modérés

René Kalfon


Pierre, premier centriste modéré, se sent modérément triste et, ça ne surprendra personne parmi tous ceux qui le connaissent,  modérément surpris de constater que, d'un côté, on n'entende  plus que : « Police assassine » et, de l'autre, on ne dise plus que « J'aime ma police ».

Et Paul, deuxième centriste modéré, est extrêmement inquiet de la montée de ces extrémités.

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