Echange prolongé ?

Message envoyé. Lu.

Pour quand le miracle renouvelé de ta présence ?

Tu sais, il y a les mots durs et les mots incompris,

Ceux que l'on oublie, ceux que l'on ignore…

Les mots ne sont durs à entendre et à accepter que lorsqu'ils sont réellement compris.

A présent que la porte est ouverte, ne dérobe rien, n'abîme rien…

Préserve-moi…

Je n'ai pas vraiment toute ma tête tant que tu n'es pas là, mais aucun frisson ne refait surface, ou que bien peu souvent…

Ne jamais oublier, toujours aimer de cette façon à la fois si banale et unique

Chaque matin, je prie et supplie l'aube d'été de s'éteindre pour avoir un peu de répit, mais je n'en pense pas un traître mot.

Tu mérites une foudre d'amour, des vagues de tendresse et des étreintes nocturnes qui coupent et redonnent suavement le souffle.

Alors, si tu reviens, quand l'aurore se fera chant, et qu'il fera beau à en mourir, entre l'alouette et le rossignol il te faudra choisir.

Alors, prends-moi pour la dernière fois, dans tes bras, berce-moi de promesses que tu briseras sans doute demain…

Car j'aurai ainsi la certitude qu'à certaines heures, pourtant, l'amour peut cesser d'être un monologue, qu'une réponse apparaît quelques fois…