Eole

Aurore Rodi (Ancienne Alice Gauguin)

Eole, me colle. Je l'ai dans la peau.
Ce charmant belâtre me frissonne.
On enlève du textile, on laisse ses jambes nues sous une belle jupe.
Alors s'élèvent les tourbillons caressant cuisses genoux et mollets...
Pour peu que l'on ait des chaussures ouvertes, c'est le pied !
Le petit haut fait des vagues, parfois il se décolle de nous et parfois s'y recolle, au grè du souffle du vent.
Bien sûr le gênant : la jupe se relèvera trop ? A la Marylin Monroe ? Et le tshirt ne laissera pas t-il voir mon ventre bedonnant ?

De toute façon, je te respire Eole. Tu es mon plus bel élément.

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