Je tourne la page...

Dominique Capo

En d'autres lieux, en d'autres temps...

Puisque j'ai tout dis à propos du différend qui m'oppose à cette personne au sein des quatre textes précédents, je tourne la page. Libre à elle de poursuivre vainement ce bras de fer qui ne mène nulle part et qui pollue le site.

J'ai contribué, bien malgré moi, à ce duel enflammé et stérile. Est-ce que je le regrette, non. J'ai mes opinions, mes combats, mon passé, etc. Je n'en n'ai pas honte, je n'ai pas à m'en cacher, ici ou ailleurs.

Cependant, je pense qu'il y a un moment où il faut savoir passer à autre chose. De fait, je vais poursuivre mon aventure littéraire en publiant ici des textes que j'ai partagé sur Facebook plus ou moins récemment. Que ceux et celles qui souhaitent continuer à s'acharner sur moi en les commentant de leurs diatribes, s'y emploient. Si ça les soulage, ça les regarde. Je ne leur répondrai plus. Je répondrai aux autres lecteurs et lectrices, et uniquement à eux. Car, à un moment donné, il faut savoir apprendre de ce genre d'expérience. Et laisser s'ébattre dans la boue ceux et celles qui apprécient son odeur et ce dont elle est composée.

Par contre, il est intéressant de constater que les textes montrant de quelle manière nous nous sommes écharpés ont eu plus de succès que les textes sur l'Histoire, la Philosophie, les récits éminemment personnels, les poèmes, les articles divers et variés, les nouvelles de Fantasy ou de Fantastique, que j'ai posté ici. Ça en révèle beaucoup sur la Nature humaine. Et notamment celle de ceux et celles qui s'indignent des déchirements qu'ils ont occasionné ; mais qui se précipitent dessus pour suivre leurs dernières péripéties. Car j'ai partagé deux autres récits depuis. Et étrangement, ils ont un succès moindre, et aucun commentaire. C'est très révélateur.

Car, c'est malheureux, mais je constate qu'il y a des gens qui ne peuvent s'exprimer qu'en répandant la fange sur ceux et celles qu'ils ont pris pour cible. Preuve en est que la personne à laquelle je me suis opposée publie toujours des textes où elle me voue aux flammes de l'Enfer. 

Je le sais parce que curieux de nature, je vais désormais de temps en temps sur sa "nouvelle" page pour y lire ses pamphlets. Je l'ai même mis dans "mes favoris" pour la retrouver plus aisément sans ^pour autant la commenter. Ce serait lui faire trop d'honneur ; elle me divertit, tout au plus.

Elle ne m'y épargne pas. Elle tente de me toucher. Elle tente vainement de me blesser, de me déstabiliser, ou de me faire quitter ce site. Elle use régulièrement de ce stratagème pour ce qu'elle a à dire en empruntant des textes d'autres auteurs. C'est vrai que c'est plus simple et plus facile que de passer des heures à rédiger ses textes soi-même. Là encore, elle est loin d'être unique.

En tout cas, tout ceci me fais bien rire tellement c'est pathétique et petit. C'est du théâtre à deux sous auquel je n'adhère plus. Je la laisse donc à son venin et à son persiflage qui ne cesse plus de tourner en boucle désormais.

Toutefois, je suppose - mais c'est mon avis personnel - que c'est dans la nature de certaines gens, dans leur personnalité, de concentrer leurs rancœurs, l'origine de leurs blessures, etc. sur d'autres. Ils se sont construits ainsi.

Est-ce que je lui en veux, est-ce que je dois surenchérir ? Non. Je pense qu'il y a déjà eu trop de règlements de comptes de part et d'autre. Je la plains, j'ai pitié d'elle. C'est consternant et elle n'incite pas au respect - elle qui ne cesse de répéter que le respect est une de ses valeurs essentielles - par cette sorte de comportement. Quant à la repentance dont elle se targue, elle ne semble pas de mise non plus à mon propos.

Mais, sur ces points, chacun est seul face à sa conscience, face à ce que pour nous signifient les mots "respect", "repentance", "épreuves", "tragédies", "drames", "blessures". Nous en avons tous des "croix à porter", tout le long de notre existence, et celles-ci sont toutes aussi douloureuses et éprouvantes les unes que les autres. J'estime qu'il n'y a pas d'ordre de valeur dans ce domaine. Ce n'est pas "moi j'ai plus souffert que toi", "moi, j'ai plus vécu que toi", etc. Penser ainsi est puéril est mesquin, et fait montre de peu d'empathie envers son prochain. Et dévoile plutôt un orgueil démesuré. Mais ce n'est que mon avis.

Ces témoignages, tels que ceux que j'ai moi-même décrit, ne sont à prendre que pour ce qu'ils sont : de simples témoignages, ni plus ni moins.

Est-ce que je dois lui pardonner ? Je ne dirai pas les choses comme cela. Elle me laisse désormais indifférente ; elle n'en vaut pas la peine. Aime tes ennemis, explique un verset de la Bible. Donc, je passe outre toute cette vilaine histoire - bien que je craigne qu'elle revienne à la charge un de ces jours lorsque je publierai un nouvel article qui lui déplaira ; ce ne sera que le quatrième - ; et je la vois maintenant comme n'importe quel autre participant à ce site. De fait, je "l'aime" autant que "j'aime" ceux et celles qui s'y expriment. 

Quant aux autres, je m'excuse de les avoir importuné. Cela ne retire en rien ce que j'ai mis dans ces textes. Et je ne les effacerai pas pour autant. Mais je m'en excuse auprès de ceux et celles - autres que cette personne - qui se seront retrouvé au milieu de cette tourmente malgré eux. Du fond du cœur, du fond de mon âme, je regrette de les avoir importuné.

Je reviens désormais à ce que j'écris habituellement. Et, pour débuter, je poursuis la publication ici de "De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux" dont j'avais partagé une vingtaine de pages ici il y a plusieurs mois, sur les 1800 que compte cette œuvre.

  • c'est SAGE !!! ça aurait pu être dès le début de cet Outrage Insensé !!! c'est bien et mieux de revenir à SA SOURCE !!! Dans la Vie ON APPREND TOUJOURS !!! bonne Continuation !!!

    · Il y a environ 7 ans ·
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    Noury Bilah

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