JEUNE ÉCRIVAIN EN HERBES

Philippe Larue

Que jeunesse autrefois ou que je naisse aujourd'hui, j'avais un Locked-In. Heureusement que j'étais un jeune écrivain en herbes de Juin, houx parfois lors de la cueillette dès septembre. Les Razmokett's de Racine avaient déjà péricarpe diem. 

Officinale était une anale littéraire, j'avais millepertuis et aussi Quimper à cheval: One Steppe Beyond...

L'apothicaire où l'urticaire ainsi que l'ortie du Caire étaient au bain de bouche. Cynorhodons étaient sous l'édredon, Rhodes était stewart. Oh, je vitamine C, mais j'étais O2 H. On rameaux bris avec les 35h et même de Lillehammer, les malsherbes qui avaient les malherbes de Malraux, étaient aux corons. Et Léon, Léonidas ni Häagen n'avaient Nina.  

Mon cocotier à Thiers me titillait. Son chapelet mon Pelé et Polo, col vert l'herbe à crapauds fumaient un cinq feuilles. Comme j'étais un jeune écrivain en herbes à sept têtes, je plumets les entremets de Cerbère. T'as Bach chez toi pour les Beethoven? Au vert mammaire, les zones humides laîches/haies carex, ample sous le Goretex à l'Avery, se marais. Médicis, les Racine de Juin écrivaient qu'Athalie devin, c'était pipeau. 


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