l angoissé somnanbullant...
Christiane Mutshimuana
souffrant ..haletant pour s apaiser..se réconcilier..ce n est que crise surtout rester d autre moindre au monde malade ,des derniers temps ..me redisant autre ah vraiment en lumière oscillante ;inquiète ..n est le problème d être vu mais oui t aime bien réussi c est vrai l histoire répétée a l ogive aux viscères des portiques ..gravé sur marbre blanc ..surnuméraire ..profaner le malheur ..oui sans s attarder au doigts fort comme la poignée ..âpre comme le vin .;mais du vin fou comme chœur de femmes guerrières .;faut des visages ,des corps en lumière ..ouvre la bouche ..quoi déjà me mutile m enlève ,découpe un bout un coup obéis rentre le cou ..baisse les yeux .;alors la tu la sais la mesure
la mesure ne se rature elle échoue a la force elle divorce peuplant le monde d ah bon
la voila la frisure tous petits mécontent ..rendu gourmand ..c est vrai ..dés le départ cela s est vu ..dans le trou des envies ..
du rythme garçon et tenir le ton .;du flonflon de la marge de l éclat n est tête de turc qu ils disent n est tête de nègre
sont gourmand ces virés virago en quête d une croute pas à l arrêt non sérieux jusqu au sinistre du cynisme appliqué
et comment l articuler .derrière devant le peloton des limaçons
faut repartir rejoindre les Danemarks les Islandes les peuples explosent ..négroïde mongoloïde devant apaiser la métamorphose
pas toucher et le geste a montrer faut la main le doigt dans l oreille souffle souffle ...m imiterait le loup
comme ont aimé l état
ce délicieux gout de nulle part ou trouver la chose placée en l état
d escrime duel...vivre ou mourir ...le contexte est l étude des tas des groupes des masses ....tambour des mots
qu on effleure timide populo
des heures à se l entendre se les faire de la dentelle maniaque je te raconte le crin crin pour zinzin
l image orgiaque ..du sombre portefeuille. Plongé en inintérêt ...faudrait ne rien de la faim soif n enlisant..
rien de cruel a se dire raconter un monde ..entendez hurlent ils moi je sais et insultes dans la classe le clou dans la main et interdit de crier trop sublime ..faire miroir sans tain est un avantage de l image tranquille
des milliers de fois désignés assénés pleurés .;de la fougue de l élan de la proportion du seigneurial de la frontière de la couleur de l ombre du suprême résumé
rupture...n est décadence ce n est qu un tourment ...un début de x recommencement d enfant des temps modernes
serait la réalité saisie en puzzle..se déchirant...approprié de pensées secrètes comme si d un regard d un abri de bus en deca de n importe quelle communauté au delà en plongeon dans le feu s inondant ..
d extérieur foutu ?.......oui ...funèbre..