J'yLa découverte de l'amour

Elodie Gerin

Chapitre vingt-cinq : Joshua. Vie d'enterrement de jeune garçon.

On y était enfin. Aujourd'hui, Annaria et moi, nous enterrerrions notre vie de jeune fille et de jeune garçon.

Demain, nous nous dirons oui pour la vie. Elle deviendrait officiellement ma femme demain. J'étais super heureux et vu la façon dont elle souriait depuis qu'elle s'était lever ce matin, j'en jugeais qu'elle aussi, elle était heureuse.

Ce soir, nous avions prévue de nous rendre au City-Zen pour faire la fête, boire, rire et danser toute la nuit.

Elle m'avait demandé si elle pouvait invité Dante à se joindre à nous et pour être tout à fait honnête, j'avais catégoriquement refuser, mais elle m'avait ensuite fait les yeux doux et comme un con, j'avais accepté.

Dante et elle s'était beaucoup rapprocher depuis deux semaines et en parlant avec lui, j'ai compris qu'il ne cherchait absolument pas à me voler ma copine, mais simplement être ami avec elle.

Le pauvre, il semblait un peu perdu pour son avenir. Il se posait énormément de question. Il se demandait s'il avait assez de talent pour devenir écrivain et Annaria l'avait longuement encourager à suivre son cœur.

Elle lui avait expliqué qu'avant tout, il devait écrire pour lui et non pour les autres. Elle lui avait dit qu'il ne pourrait pas plaire forcément à tout le monde, que des critiques, il en aurait, mais qu'il ne devait absolument pas s'arrêter à ça.

Certes, elle lui a dit qu'il devrait prendre en compte les critiques constructives que cela l'aiderait à s'améliorer, mais qu'il aurait aussi des personnes qui saliront son travail par simple jalousie.

Et seigneur, j'étais content d'être tombé sur une personne comme elle. C'était une personne qui réfléchissait beaucoup avant de parler. Elle était naturel et ne chercher pas a plaire a tout le monde. Elle aimait aidé les autres en leur redonnant confiance en eux.

Elle faisait passer le bien des autres avant le sien et si je n'étais pas derrière elle, elle s'oublirait elle même.

Je commençais à beaucoup plus parler avec Dante et maintenant que je le connaissais un peu mieux, je l'apprécié un peu plus chaque jour.

C'était un chouette type. En ce qui concerne Annaria, j'avais une totale confiance en elle. Je savais dorénavant que j'étais le seul homme qu'elle aimait. J'étais le seul à l'intéressait et s'était pareil pour elle.

Je m'en foutais royalement des autres filles. Il n'y avait qu'elle qui comptait à mes yeux.

Dante, Annaria, Florian, Danny et moi, nous arrivons au bar au alentour de vingt-deux heures.

À l'intérieur, les basses nous faisais vibrer de l'intérieur. Plusieurs personnes étaient déjà en train de danser sur la piste de danse.

Nous nous avancions vers une table vide et nous nous installons.

Annaria s'était installé face à moi. Dante s'était assis a sa droite et Florian à sa gauche. Ma poupée était plutôt bien entourée. Danny était à côté de moi.

Les tournées s'enchaînent les unes après les autres. On rigolaient comme des adolescents. On était tous heureux. Enfin surtout Annaria et moi.

Dante attira ma femme sur la piste de danse et je les regardait se faufiler entre les corps pour se faire une place sur la piste.

Ma douce avait choisi de porter un déguisement noir de lapin avec un petit ponpons blanc sur ses petites fesses.

Elle avait un léger petit décolleté qui laissait entrevoir le dessus de ses seins et même si s'était minime, je n'aimais pas que d'autre homme puisse posé les yeux dessus à par moi.

Florian était resté avec nous. Il faisait les yeux doux à Dante afin que celui-ci l'invite à danser, mais mon ami n'aimait pas trop ce genre d'endroit.

Florian avait fini par se lever pour rejoindre les deux autres. Annaria était entré Dante et Florian et ils dansaient tous les trois collé serrer.

J'étais jaloux, mais je savais qu'ils faisaient ça uniquement pour s'amuser.

Danny s'installa face à moi et nous parlions de la journée de demain. Il me demandait si j'étais prêt, si j'étais sûr de mon choix et sans hésitait, je lui avait répondu par l'affirmative.

Tout à coup, une jeune femme était venue s'asseoir à mes côtés. Elle avait passé son bras autour de mes épaules et s'était pencher vers moi.

- Salut beau gosse, j'ai vu que tu étais libre alors, je me suis dit que j'allais tenter ma chance.

Je m'apprêtais à lui répondre lorsque je vis Annaria arriver vers nous comme un boulet de canon.

- Tire tes sales pattes de ce qui m'appartient.

- Mais tu es qui toi pour me parler comme ça ?

- Je suis la fille qui va t'arracher les yeux si tu ne retire pas tes mains de mon mec !

- J'aimerais bien voir ça.

Annaria l'attrapa par les cheveux et la tira en arrière. Dante et Florian arrivèrent en courant dans notre direction et ils regardaient la scène qui se déroulait devant eux avec stupéfaction. Moi aussi, j'étais étonné de voir ma femme dans une telle rage.

Elles se battait vraiment violemment. 

- Salle pute cria l'autre à Annaria.

D'autre fille certainement les amies de la meuf arrivèrent et attaquèrent Annaria par derrière. Il fallait que j'interviennes avant que les choses tourne mal.

L'une d'elle attrapa les cheveux de ma femme et l'a fait tomber au sol, mais Annaria ne lâcha pas une seule fois la fille qui m'avait pris dans ses bras.

Je me levais et Danny m'imita. 

- Ça suffit criais-je par-dessus la musique pour me faire entendre.

Dante pris l'une d'elle pour l'écarte le plus loin d'Annaria et Florian une autre. Quant à moi et Danny, nous essayons de séparer les deux tigresse qui se livrait un combat sans merci.

Ma douce saigner de la lèvre, mais l'autre était vraiment dans un salle état.

J'encerclais la taille de ma femme et l'emmener avec moi dehors. Elle essaya de se dégageait, mais je la tenait fermement.

Une fois dehors, je la plaquait contre le mur derrière elle et prit sa bouche d'assaut. Sa main s'enroula autour de ma gorge et elle inversa les rôles ou plutôt je la laissais faire.

Elle me plaqua durement contre le mur et lécha mes lèvres avant de forçais l'accès à ma bouche avec sa langue. 

Je posais une main derrière sa nuque et la rapprochée de moi. Nos langues s'enroulaient l'une autour de l'autre dans un balai endiablé.

- Tu m'appartiens !!! Tu entends ça, dit-elle. Tu es as moi. Ne t'avise plus jamais de laisser une autre femme posés les mains sur toi !!!

- C'est promis mon ange.

Alors, seulement elle m'embrassa plus... Tendrement. Plus sensuellement et putain qu'est-ce que j'aimais lorsqu'elle perdait le contrôle comme ça.

C'était la première fois que je l'avait vu dans un tel état de colère. Au moins, maintenant, je savais qu'elle tenait énormément à moi.

Ce soir-là, nous avions fait sauvagement l'amour. Annaria s'était complètement livré à moi comme elle ne l'avait jamais fait jusqu'à maintenant.

Je l'avait pris sur le plan de travail de ma cuisine. Dans les escaliers car on avait pas su attendre d'être dans la chambre. Sur le palier, dans le lit et même dans la douche.

Nous avions pratiquement fait toutes les pièces de la maison. Nous nous étions endormi au environ de 5 heures du matin totalement vidé et fatigué mais surtout heureux de nous êtres livré l'un à l'autre.







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