LA ROUBLARDE APPOLINE

Philippe Larue

Trop, c'est trop. Une Trump qui c'est trompée de trompette et en coulisse, la mort lui va si bien 

Plus on monte haut, plus dure sera la chute...sauf si on parapente douce à Amiens

L'eau va toujours à la rivière...allo, quoi? C'est l'Aquarel 

Les dictons avaient l'Édith, tongs en diftongues d'Averel

Mais, comment manœuvrer actuellement pour la Sainte-Agathe, chantait l'alouette?

Or, si tu semais des poireaux, tu récoltais des Malraux, thés de ciboulettes 

Sauf si le jour de Sainte-Appoline renfrognée, c'était trois beaux mois d'été qu'elle avait gardé

Si encore Février laissait les fossés pleins, les greniers seraient pleins d'obsédés

Et gelée de Sainte-Honorine rendrait toute la vallée chagrine 

À la Sainte-Cunégonde, la Terre redeviendrait féconde d'haïkus et d'épines

Cependant, de Casimir, la douceur faisait peur aux jardiniers et aux laboureurs

Après tout, belle Euphrasie mettait pommes à l'airie, à prairies de bonheurs 

Et Montléry au 1er Avril, il fallait que le pinson boive au buisson 

Attention toutefois, car pluies de Sainte-Opportune, ni cerises ni prunes à Soissons 

Savoie/Anjou car les pies trop bavardes, Legrand vent ne tarderait à apporter les graines de moutardes 

Heureusement que les moucherons au coucher du soleil...pour demain un temps vermeil en sauvegarde! 

Signaler ce texte