L'ACCORDEUR EN MIETTES

Philippe Larue

Que ça tournesol sept après-midi, même s'il était dix-neuf heures à l'horloge de cinq pôles! 

L'accordeur était de toute façon en basse de sa libido musicale, un peu comme en écriture. Au début, tu installais bien le Verbe emphase avec ses nombreux articles, même Arras les pâquerettes de son festival. Puis, lorsque l'éther du milieu apparaissaient Hobbit en tout genres (Trois-Gros byte, quatre-quarts de bit d'amrrages, Seth bites inutilisables, Hours-services quoi...), le Verbe aimait particulièrement nagé en eaux troubles à fin the end à l'Eden. 

M'en faim, sa gourmandise y était garguantesque. Ce morfalle des mots, Kant il envisageait d'y installer sa lumière dans l'émaux, son kaolin se métamorphosait Odin. Daims nés, queue damned à y entrer dans son trou-Madame! Ce végétarien avant d'être allien avec Verlaine, se betteravait dans les rêves ravinés de vodka, et en Gin, Siz-vous-plait. 

Cependant, j'avais l'accordeur en miettes, mirré dans son beau miroir pourtant nettoyé, Hépar Léon, nettoyeur en Mir express. Que voulez-vous, c'était un Mirò, Miromesnillois de première, mais sans défenses à Mirò: admirerons son rond-point Poincaré. 

Bref parenthèse inattendue: ne trouvez-vous pas que la virtuosité d'un musicien @métal comme un colibri? Les doigts ne sont posés qu'un instant éphémère, et plus de notes y sont à éparpiller, plus les doigts Houellebecquettent dix manches. Le millimètre y est de mise en bières car ampli...fiers de sa puissance, en pinson pli en temps pliés & en mesure des peupliés. Mais, en chemises mouillées au Casino Royal Kant M&M's! 


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