L'AUTEUR DES MOTS

Philippe Larue

Un écrivain a la nécessité d'inscrire ses corpulences verbales lorsqu'il promulgue un livre. En plus du numéro d'ISBN, son compagnonnage nominatif apparaît.

Auteur: un maître devin. Hauteur: un maître divin. Ce haut-parleur de mots scrupule ses hot-dog de personnages aux truies. Du coup, autrui, aux Trois-Gros Autriche avec les autovaccinations, puis il autorise les sangliers de Blier à se déchaîner sur les hêtres et à répliquer les autopunitions jusqu'à  gommer les gentilhommes. Mais, Gaumont ce Pathé de cornichons et les hautes-formes stylistiques. Haut-coeur de l'ouvrage, vous hottez ôter car aux thés de Deezer, cafés les autosuggestions des biscuits LU?

Autopsie campagnol remake la gloire de son père Quimper, après Châteaubriand, vous aurez le droit adroite au Châteaudun d'Odin. Sympa, non? Autofocus, l'haïkus y est cul-de-jatte et authentique attaque, autant en emporte levant du soleil. Haut-de-Seine, un écrivain se la coule douce si on Haute-Savoie. Alors, hautbois tubas un vers de Montrouge, haut-Rhin y filtre le Rimbaud et Beaumarchais enclume les stylos-plumes.

Haut-fond, c'est profond. Finalement, ma véritable hauteur d'écrivain, c'est maître omettre: chais pas où est en Corton-Charlemagne. Tempêtes solaires de Césaire, Odin et l'éther y sont en corps bleues? Ah...Stroumpf, espèce de requin-marteau!


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