Le casse...

dimir-na


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L'utopie a ses limites, ma solitude n'en a pas.

Une seule gifle encore aujourd'hui, même morale, refait mes tremblements, ils sont ma peur, ressembler à l'humain.

J'appartiens à la nature, celle qui fait penser que l'on peut vivre sans zèle.

Je vis dans la mort, la mort de toutes formes d'intolérances.

Mes rêves étaient plus beaux que la réalité, rien ou si peu a changé au-dehors.

Ce n'est pas la porte qui s'est ouverte, c'est l'avenir qui s'est offert à moi.

La Tendresse c'est juste un mot ? C'est faux, elle est la clé de mon premier casse, une formule simple, efficace, supprimer les réitérations.

Aux certains la domination du corps, aux certains d'avoir été touchés, l'espace est immense,  mes quatorze ans passés dans le noir ont brisé leurs lumières, jamais le filament des ampoules de mes espérances


                                                      Tendresse, Dimir-na

                                                                

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