le chant du peintre en batiment

urbain décor wallifornie

péquet cola ..blanc coca hidalgo blanchâtre un rien opale

barbichette pointée plutôt don quichotte

un rien footeux musclé au jambes ..

la main entreprise bâtisseur tout terrain ..un grimpeur en chemisette polyester voire Marcel ..

West Sidé story manière bord de Meuse

lorsque le moineau parle au corneille de coup de grisou

bien avant le communisme,maoïsme et coups d état divers .

.n en avait pas même entendu parler ..

juste la coupe et l attitude a la James Dean ..la morgue rock roll .;bon ouvrier ;bon soldat ..question principale :t'aime faire la fête ?.....,je peux être ton pénis ?....une précision microscopique .

une propension certaine a aimer la statuaire.. l humain en carton pate et les histoires princesse charmante .

la chanson je l aimais tant que je l ai tué.

romantisme des années 70 

guerres diverses ce qui se civilise ou s ensauvage

la Suzuki de son père le mauvais virage ..

l obsession qu un homme batte sa mère ,il me racontait adorer se battre avec ses beaux frères...ses beaux pères... 

il disait que sa mère aimait le sexe et aussi ses sœurs

il disait s être cassé le dos a force d effort

clamait être un homme

que la ville sache qui était son vagin .

j avais à cet époque un orgue de barbarie avec lequel je chantais sur les marchés des chansons réalistes de Marlene Dietrich a la môme piaf ;

me fallait me remplir d air comme un ballon ..me gonfler ...

lui ,Gail lorsqu' il buvait californien peket cola aimait en boire beaucoup alors aimait défier le monde ...se rendre invivable ..

parce que les gens sont mauvais disait il .

il aimait les chants d amour ou les femmes trahissent les serments ..

la femme était une béance ..

.un vide d ou serait né ...

qui ne se rejoint qu a la fin .

il aimait les dauphins qu on dit intelligent ....qui saute et saute encore ...

répétait ton peuple a tant souffert ...disait qu il était dangereux ..

quand a elle dans son rôle d Eve regardée,

disait je pense a toi ...

en arrivant à le craindre ...

il exigeait qu elle ne travaille que payée or a cet époque se défroncer les sourcils étaient la seule chose qui se payait

ce  n était des vacances ,c était de l amour .

fallait se marier trouver du travail et même devenir blond tous les 2 sans hésitation ..être des mignons .

une fête rose a bougeotte chic ou cœur accéléré et gout wallifornie Attack.

seul a deux dans l univers de kilomètres... miraculé marrant et tantrique jouir en bus... moins place saint Lambert.

un jour ou je n avais pochtronne avec lui ...ni m être fait détester par quelqu émérite lanceur de fléchettes jusqu à mon tonitruant amant

me traitant d intermédiaire ....

désireuse de remplacer mes dents cassées par contrariétés diverses ..

déjà s être endormi tout au bord de la rive dessus le fleuve Escaut face au polder expliqua t il au policier puis la wallifornie à inventer...

on s est retrouvé le matin sorti de cellule de dégrisement..

qu un peu de poudre nous oppose ...

de cette chanson je t aimais a attendre juger .

en essai urbain d une voiture une maison se marier parlant d une famille qui soit mère enfant travail ordre d une vie civilisée au rythme normal tel que depuis toujours et les mineurs .

lui prenait des calmants et peket cola waliffornie

je fermentais dans l attente de je ne savais que devoir sortir ...

fatiguée d avoir trébuché disait on .

n ayant plus la volonté de vivre disait un mauvais rêve ou se détester ....vouloir en finir ..candide .

lui se voulait être un chat botté ...un semeur d arc en ciel ...un clown et ballerine ....un pygmalion .

des jours et des nuits nous arpentions la ville .

il me montrait des entrées de building ,des murs de restaurant comme Michel ange ,la chapelle Sixtine

beau  de l avoir rêver toute entière la ville puis de pouvoir en paver toutes les autres aussi

j étais aux mots du malheur son hymne

je devenais peu a peu sa raison de poursuivre ,de me repêcher même si je ne m étais jetée de rien

juste marcher sur des pistes de poudre

d un enchantement avec quelques bières ..la wallifornie et Johnny Hallyday

pouvoir caresser des raies à l aquarium

je l emmenais plus au sud ..une sorte d endroit ou mains liées s inquisitionne ....mignon avec des choses de qui on se rappelle les looks comme collés au regard, les ombres échauffées de fautes communes

a tous se risquer big shop ouvert jour et nuit

l on avait été tous les 2 dans un coin de vestiaire à se regarder..

à se soigner sur les accotements le long de l autoroute chaque fois qu on crashait cette camionnette rafistolée par lui..

qu avait passé le contrôle de sécurité quand même...

on avait tellement fêté cela que j avais joué la femme canon: suis passée au travers de la vitre du deuxième étage ...

tout le monde me disait que je ne pouvais rester une femme battue..

je ne l étais pas à cet époque la ..n étais pas entrée dans cette conscience la ...de l aide nécessaire...

tous en était persuadé parfois nous nous faisions insulter lui de traitre moi de negresse.

lui était maladivement jaloux défiant tout le monde en me serrant fort la main.

moi je le regardai protéger ma vie....était chevalier.

il disait que j étais comme Sinatra ou Presley ...d essence rare.

que je le faisais vivre plus vite ..

vouloir être un feu allumé...

niché a 2 roulant à 180 sur une autoroute dans une voiture jaune sous un rideau de pluie sous le contrôle d Orphée photographié en maillot de bain près de l aquarium...

  nagent les pas de chance ...les fait ce que je dis.. 

tout ça au chemin de ceux qui font rêver à deux ..

le long des quais ou d un dock ..près d un port.

ces quelque chose pour toi ...

quelques coups pouvant réveiller un automate assoupi.

tu me transforme en virus en coup ou en mots suivant regard ...reflet.

Pensant être acteur il en dessinait l ombre..

s habituant a casser ...

effigie saltimbanque d el capitan.

...jouait d un orgue grammond orange sonnant comme corne de brume en wallifornie ou supprimer ces si longs dimanche..

Nos fiançailles ont butés sur des mots creux .

Des menaces vaines ,des ricanements se trompant d enseignes ... des refuges pour amochés.

PEUT ETRE NE FAUT IL DES GAGNANTS......Des changements de directions...désigné qu importe...encore m importe...pas prêt...que plus rien ne se passerait...

me disait vivre plus ..vite. Ou ..à n importe quel nom..Wallifornie.