LE FAISCEAU DE LÉONTIN QUEYNOUX

Philippe Larue

Léontin Queynoux, à la presqu'île des Quibéron à Lubéron, le Berry des Bidochons, était contrôleur des travaux publics de l'État, autrefois. Parce qu'à présent, Léontin avait adopté d'être skomorokh, le saltimbanque des Queynoux au quai.

Ainsi, il était le bouffon des soles & des raies, le jongleur des arêtes, l'Archimède au Goncourt des baudroies, l'acrobate de la criée et des cahiers de Tintin. Anchois, lorsqu'il fricassait les barbues poilus Aubert, c'était plutôt le tambourin coing au cabillaud ou je colin fugu de crabe-tambour à l'haddock. Brûlant pour le petit rapporteur Martin Pêcheur car après la quadrature du cercle de l'amertume, il repartait empereur d'Hopper en Pageot. L'Hass d'hélas de l'astrologie avait les Christs In, Offenbach les bouffes du Nord et Léontin Queynoux, que voulez-vous Voulzy, sa gastrologie était le maquignonnage pour maquereaux et grogneurs de scrogneugneux.

Était pas du Perche, le Léontin Queynoux. Non, à la perpendiculaire de la presqu'île, à l'angle droit des tonnerres de Brest, vers losanges des mésanges au Waterloo et du trapèze de la rue Poissonnière, à Paris. En vérité, Léontin Queynoux était un conique de Juin et ses coordonnées locales étaient apparentées à sa courbure terrestre de bossu de Notre-Dame. Un modèle des sociétés des gens de l'être, théoriquement quoi.


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