Le génocide par le béton

M Minosa

Il est mort, le paysage, dénaturé, vide de sens. Il n'est plus. 
Sa luxuriante végétation qui vibrait au rythme du vent... maintenant il n'y a plus que branches mortes et reste de feuilles séchées, éparpillées au quatre coins du goudron. 
Et oui, elle est morte la nature remplacée par des arbres de béton et de pierre. Tout n'est plus que construction, la nature a perdu ses droits, elle n'est pas sauvage, elle est domptée. 
Elle est morte la nature.

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