LE GUITARISTE

Philippe Larue

Lorsque je gratte-cul de mains l'élan Denain de cuite, j'accorde en plus, un Whisky avec les ouistitis, les pinsons, l'hirondelle café Holly, le printemps et gagnée beaucoup de sushis.

Oui, un guitariste flambe Flamby l'été en pic-vert mineur, mystifie son hêtre à Népal être sept questions, sous le charme des saules pleureurs. Je pleurotte parfois l'autrefois, très froide d'hiver où Montblanc manteau y Bic l'écume des cocaïnes enneigées, car les riffs Clapton. Je m'ébats l'an Sainte-Nitouche que le palissandre, ému les blagues de Guy, taré des Maupassant les Mai/Juin qui serre-joints. Les oies Sauternes colibris Alex, Libris aux Inséparables de Fisher...émoi la paix.

Je luth aussi, tournesol la mécanique des cœurs, bouzouki l'Harry d'azukis rougeâtres, tandis que je suis Suzuki. Lorsque geai le coulisse de propolis, je boursicote les biscottes de Gertrude, les biscuits de LU et j'incarne le pouillot siffleur de vers solitaires en miettes, Houellebecq ma bécassine. Je suis goyave avec les betteraves en flamenco de Benco. Quand j'ai le blues à plaisanter, la rousserolle des buissons et tubas aux klaxxons, des miettes des Noces de Figaro tirebouchonnées. Sitelles sont les Corses, des corsos fleuris par fleurette et...Manon, des sources oranges. Les Maures du Vaisseau Fantômes croient que l'haïku more est Anubis. Nickel, je vais bronzer l'étain, la lampe d'Aladin, et concerto aux tyrans dont la mise amplifier, non orange les perruques des perruches aux pèts riches. Je doigt un martinet pâle aux pies jacasses. Plongeon imbrin la flûte en santé de Mozart chez l'haïku bizzaroïde d'Ovide.

Aux hémorroïdes, osez Joséphine la more fine...


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