LE POUVOIR

Philippe Larue

Médusé par un pou ce matin! Et cette lente agonie des espèces Darwinienne m'atristait. Le pou, voir sa décadence, son pourrissement dans les vers solitaires et les râles nocifs. 

Les conjonctions de coordinations étaient désarsonnées, voir désemparées de quincailleries et autres pacotilles. Et le pouvoir? ISS peut...qu'hisse pouvait...il était possible et même Kiss pu embrasser...mais les mots ne progressaient plus. J'avais pu écrire sur le pou, voir ses dreadlocks se Marley de pus et des pûtes. 

Peut-être que nous pourrions, que nous pussions et queue vous pissiez l'épices à éradiquer la prolifération des vicieux et vieux pouvoir. Nous pûmes, Pam, Poum autrefois, et vous eûtes pu qu'hutte à sudation gratifiait l'âme et l'esprit plus qu'une lutte de pouvoir. 

Équivaloir que l'époux chevelus se cochenillaient au Loto, se gargouillaient d'un Black Jack...Daniels, le pou...voir qu'un Rabelais se transformait en Sisley d'ânes, mieux valait éradiquer l'épou, voir les bonnets d'ânes de Cézanne rentrer dans l'ordre des anoploures et des phthiraptères. 

Décidément, les pous rouges d'oignons pour moutons étaient indigestes. La toxicité de certains pouvoirs des champs convertissait les charpies en morceaux. Hisse pouvait que la fin eue faim...

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