LES CONGOLAIS NOYERS

Philippe Larue

Le printemps est passé composé le présent, imparfait soit-dit en dix ans et pour les plus gourmands, cent zan. C'est Pâques j'y suis j'essuie et que je suie une Suez, ni cloche et encore moins lapin crétin, que le Saint-Pierre qui a prêché pour fer fortune, mais trop gourmand d'y becqueter les sous sans soucis. 

Les Moaïs, aïe, aïe...ailleurs d'ailleurs, à contempler depuis des milliers d'années, les étoiles, la voix lactée et les piliers de la galaxie. Cette éternité posée, aveuglée apparemment par l'humanité désorientée. Moi, c'est le temps des cerises, et l'étang à nénuphars qui m'ont enseigné le Nirvâna. 

Une œillade à l'extérieur et mes papilles dégustent déjà un clafoutis confectionnée par Cerise, et une glace côté or où l'argent sale n'y a place. Les queues des p'tisanes de Cézanne s'engouffrent chez Guignolet avec Sisley de Beaujolais. Les trois commmères de Césaire sont amoureuses du cœur de Voh, le Devos à divan jusqu'à Dinan au soleil levant, la vache du prisonnier. 

Je suis schiste & destroy aujourd'hui. Les âmes vagabondent...Stonehenge.

MontRush More 

J'écoute Montrouge 

Eden Montblanc

Les couleurs dûes caramel car l'autobus à l'impérial est en panne, fondent chez le glacier de Briksdal. Quand au bilboquet du diable, Amazon s'en charge pour 0,1$. Finalement, je suis bien assis sur le rocher du Père Trébeurden. 




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