LES PINSONS DE STRADIVARIUS

Philippe Larue

Chapitre 16


Entre le cercle des poètes disparus et le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, Racine avait encerclé à cinquante kilomètres à la ronde, les cimetières proches de Newark-On-Trent. Le Comté de Nottinghamshire n'était pas à l'évidence, acclimaté avec l'hasard mortel. Ni Newark-On-Trent ni Gotham n'avaient de projets aux fondations solides. Le district de Broxhowe aurait pu prétendre y avoir une aptitude souterrainne et celui de Radcliffe-On-Trent, des similitudes. Mais omis une physionomie errante inconnue à l'intérieur du cimetière, proche du professeur Albus Dumbledore dans Harry Potter, aucun indice supplémentaire.

L'inspecteur Owan-Stanislas Cammayche avait homologué les 5cl écoulés d'un vieux Armagnac blanc millésimé de 1908, versé par Racine. Tajin troué et déchiré, avait-il proclamé à son collègue tout en inhalant les vapeurs brûlantes qui s'élevaient de la tasse à café. Tans pis pour le lapin qui se croyait apnéiste confirmé No Limit en descendant grâce à la Gueuze, dans les abysses sombres et les odeurs de la compotée de pruneaux et d'airelles rouges. C'était plutôt la nostalgie ancestrale d'Owan-Stanislas Cammayche qui avait prédite la réception d'une deuxième commandes de Degas café sourire Racine. Pas de poches sous les yeux à Cammayche. L'alibi de la phobie des fatigues chroniques policières s'administrait dans l'alambic de cépages.

L'authenticité qu'Owan-Stanislas Cammayche demeurait hétérosexuel, était frappante. Il n'interrompait pas ses regards en direction du vieux Armagnac blanc, comme une sagesse martiniquaise raggae/paggaie égarée. Or de sagesse, Juliette en était aux antipodes. L'inspecteur Owan-Stanislas Cammayche avait confessé comme un Pape, Pie X les confessions intimes exibées par Juliette. C'était une junkie connue des services de police de Londres. Arrêtée en possession d'héroïne, elle n'avait eue droit à son propre salut, qu'à une juge reperruquée, indulgente et satisfaite de rajeunir sans botox.

Racine aurait pu se croire digne héritier de Sakespeare, tant le mensonge éclaboussait l'inspecteur Owan-Stanislas Cammayche. Mais comme les hommes politiques, il n'en avait que faire, du moment que l'ivresse du pouvoir des vieux dinosaures Armagnaciens blancs s'imprégnaient dans son antre, son deuxième cerveau, plus assimilé à la compréhension de la psychologie de la comédie humaine.

Lors du troisième actes Armagnacien, l'inspecteur Cammayche avait introduit la photo de Racine dans cépages de carnet, indexé n°1. L'habilité du discernement de l'inspecteur domestiquait l'esprit de Racine. Comment le jumelage de l'extraordinaire voyage d'un fakir coincé dans une armoire Ikéa et l'extravagant voyage du vieux et prodigieux O.S Cammayche s'était-il débobinné?

L'Azam chilienne de 1966 de 18ch dérivait entre les buttes Saintes-Mortes-des-Fossés lorsqu'elle avait redémarré de l'atelier de Racine. Très certainement qu'à présent, l'enquête serait détentrice d'alibis et à une inventivité fielleuse de l'inspecteur O.S Cammayche, de rappliquer chez Racine, rempli de motivations...alcooliques.






























51
































52


Signaler ce texte