LES SYMBOLES D'ÉTANG

Philippe Larue

Il Boileau, l'hêtre à mes côtés. Effectivement que je tricote, entrecôte à l'argus & coutumes avec le Verbe.

En DS4 hors-services, que mon l'haïku est Vénus. Étang dans l'étang de mes regards, Eden les temps de gribouiller aux temps, en emporte le Van Halen, Verlaine. J'ai la panage, le panache de la ganache chez mes crocs. Hambourg, les bienfaits et le cheptel de Césaire. Grâcieusement, l'eau qu'est d'habitude opaque au quai, a destitué l'hoquet glacé d'Haägen Dazs. Volontiers, payant un quatre-quart à Trois-Gros morfales en grand nombres.

La Henne-Morte dans une ombre mortelle, j'absorbe O2 étains, l'esprit afin de chlore les soldes aux formes, et aux rhum ambrés. Or, inhaler l'Allais grâce à Sisley Biolay, ça rend vache, non? Je m'oxygène le Vox, AC15 potes en six ailes des arcs-en-ciel. Je pinson métal pauvre, puis je métal de transitions, transpirations Léon? Bref, une noix y trébuche sur le casse-noisettes du siècle, noyers au coing en marmelade, où il patiente le cygne noir du rouge-gorge Poincaré.

La Gadoue s'étang vers glaise, Blaise et l'église du village, puis devant l'aven les poilus d'électoplasmes. Les crapauds crapahuttent vers les marmottes. Un bonze rempli d'arts Gilles, à la souplesse d'une grenouille sautée aux nénuphars. Au bord de l'embarcadère, la poule Harry: oublié le camembert d'Hubert, le renard.


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