L'ÉTREINTE GLORIEUSE

Philippe Larue

Après trente glorieuses langues de chats et l'étreinte glorieuse de langue sur chattes, qui avaient bu abus impérial et abusées de Bizet les thés, j'examinais et si j'étais exact Minettes, la prospérité de ma bavardeuse langue de tchat...Seurat Ra. 

Rassurez-vous, je ne ferais en aucun point, concurrence avec sel de Mme Whart. Ah la la, Salers rend vaches, les lectrices & les lecteurs de mes textes, mais c'est pour leurs biens.

C'était le krack boursier chez l'écureuil casse-noisettes, et j'avais LU que les Katzenzungen avaient été rachetés par les Kriek à Cid Vicious. Étais pas garagiste de Kurt Lui, à langues de chats pourtant? J'étais sur la Paille d'Or et dorénavant à l'arrière, les véritables princes de LU Holly, étaient petits écoliers de Blier. En tas, l'État Blier savourait plus les Pim's de Madame Mim que ma Lady du ballet qui sort six airs à Césaire, et ressortait orange ensuite.

L'humanité des boudoirs avait Bouddha comme guide et les roses de Reims, le Nirvana qui Smells des cochenilles. Odin petit écolier du Verbe, adorait Charlemagne car il avait primate pour parfaire ses singeries Einsteinniennes: (AB)+(CD)=(BN). Sa maîtresse Alsacienne avait LU qu'oeufs aime C2 autruches Autriche, mais que C4 à la suite qui cailles/haies pour confectionner l'Hamlet à Lear.

Vous lûtes LU, mais Devos luttes de culbutes avec Lulu, vous luthiers de Lutèce...Thos, t'es Rhône, hein?

Luther avec les langues de chat, adjurais à jurés que Jaurès dix vins du Jura, mais que les petits cœurs...jury, va! Allais, je vous ai Mikado de Sisley Biolay et comptez sur Grimbergen pour soulever aux Kriek, votre dépanneuse vers Bâle, Mme Whart.


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