LETTRE À L'ÉLYSÉE

Philippe Larue

Cher piano,


Certes, mon rocking-chair vaut Devos, une bagatelle pour les Beethoven. Cependant, étang en marche avec les grenouilles sautées, les crapauds au lac des cygnes mineurs, je mesure l'importance d'être à l'Élysée. Cent Troyes mesures dans un Poe de chambre chopinien, queue dire? C+ TF1 ces jeux de mots, ses successions de rosalies, les basses d'Albert bête et méchant, quoique moi...

Bref, les pépins de Lenôtre, Jaurès Thor si je ne vous en faizan pas cadeaux. Pourquoi Bonn/Sorbonne étaient des Beethoven? Messes-basses quoi. Bassons à autre chose. Actuellement, je pinson année sombre de sombrero à Cézanne de l'Assemblée. Je Bavière, aujourd'hui je crapahute et demain...Tudors déjà? Tiens, un Amadeus & coutumes des toiles d'araignées. Sonnes @ de Tom @ au perchoir, ça endors les barres de Mars. Mais, peut-être qu'un p'tit Juin, une héroïne héroïque de Montblanc..? Violoncelle qui Salers l'Élysée de piments de Montrouge. Goethe & moi Seth Bouilly pleine de Faust d'orthographes. Cirrhose à vous Cognac-Jay le Sire Oz, moi!


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