L'EXTRAORDINAIRE VOYAGE À L'INTÉRIEUR DE LA MICROSCOPIQUE BIQUETTE DE Mme WHART

Philippe Larue

Attachez vos esprits, cela va être un voyage, un peu comme au Futuroscope, à l'intérieur de la subliminale langue de Mme Whart. 

Pensez que les sillons jugo-palpébraux, plus communément dénommés cernes de Mme Whart, étaient dûs à Mr Donnecause à Joué-les-Tours lors d'un loto exceptionnel, aurait été une mauvaise piste. 

Non, la blépharoplastie de Mme Whart provenait des extrêmes insomnies à déguster et s'enivrer dans les bacs de rhum/raisins. Et puis l'horreur. La phonétique déglutineuse du palais de Mme Whart était devenue défaillante: plus de goût. La longueur habituelle de 9,2 cm de long s'était raccourcie, provoquant un visuel des muscles amygdaloglosses. C'était la consternation chez Mme Whart. 

Heureusement, sa cousine éloignée Mme Mimex lui avait suggéré une accélération scientifique et non nucléaire, de recherches sur ses problèmes, mais pas au CERN, non. (Petites coquines lectrices & lecteurs, va). 

L'épiglotte à coucou de Mme Whart était encore en bon état. Les amygdales palintines avaient changé de couleurs soudainement, mais cela étaient dues aux abondantes dégustaions des bacs à pralines roses. Le canal submandibulaire de Mme Whart mesurait bien 4 à 5 cm de long et 2 à 3 mm de diamètre. La défaillance de la biquette venait des papilles foliées situées sur les bords latéraux et postérieurs de la langue de Mme Whart. 

En effet, les bourgeons gustatifs y étaient flétris. C'était à ce moment précis du diagnostic de la langue de Mme Whart, que le médecin Labatus, responsable des nombreuses incrustations chirurgicales dans le palais et les prises de photos panoramiques,  avait eu les mâchoires soudées temporairement, par la biquette de Mme Whart. 

Inconscient quand aux procédures à utiliser avec la langue de Mme Whart, pour qu'elle ne puisse s'enflammer ainsi, le pauvre Dr Labatus en navet secrété un pot de salive à garder en bouche-bée! Oh, désolé si l'histoire se termine simplement. Le Dr Labatus avait dû continuer jusqu'à la retraite avec des pommettes affaissées au-dessus de ses abajoues, sans que cela ne soit reconnu, comme maladie professionnelle. 

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