Mes scènes cultes cinématographiques (1)

leo-de-nantes

SPOIL 4000!!! Bien que je n'ai pas toute l'étendue spécialistique sur ces œuvres de cinéma, j'en apprécie l'énumération en expulsant en autoananalyse ma psyché dérangée et dérangeante!

Les premières images qui me viennent de mon enfance sortent du petit écran. Les films diffusés m'ont marqués et me marquent encore, bien qu'une certaine période soit plus créative qu'une autre (70-80) dans l'horreur notamment mais je ne généralise pas sur ce point, les années suivantes sont bonnes, même les années 2000. Mais j'ai une légère fixette sur le passé qui dévoilait un pan entier du côté obscur de la psyché humaine, sans forcément en parlant de Starwars, qui est, là aussi, une référence dans la Science-fiction cinématographique!

Aujourd'hui je vais me baser sur certaines scènes, cultes pour beaucoup mais particulièrement pour moi :

premier film : la folle histoire du monde de Mel Brooks de 1981. La première scène du film démarre par l'apparition en groupe d'hominidés plus que poilus qui se masturbent et poussent des râles de jouissance qui m'ont fait littéralement explosé de rire. Une scène mémorable, qui a gravé le patronyme de Brooks dans ma mémoire sélective. Cette seule scène immortalise le film, le reste est plutôt vieilli et éculé à mon goût.

deuxième film : Antichrist de Lars von Trier de 2009. Autre registre, autre atmosphère et pas la même époque. La scène qui m'a frappé et il y en a pas mal dans le film en entier, est celle de Charlotte Gainsbourg nue, couché devant un arbre la nuit. Sa peau d'une blancheur de neige tranche avec la terre noire qui la soutient. Les os de l'actrice sont apparents et cela, associé à la pâleur de la chair m'a fait penser à la mort. Et tout réside dans les gestes de cette scène mythique : la masturbation. Charlotte représente la mort se faisant plaisir, comme si l'entité maléfique, terminale avait un corps de jouissance. Une scène qui tranche énormément par sa fulgurance esthétique.

3 : Scanners ou les psychokynésistes! La scène expérimentale avec Michael Ironside, ou le partenaire/cobaye a des soubresauts au début de l'expérimentation et finit par l'explosion pure et simple de la boite crânienne! Un one shot qui laisse des traces et pas seulement de sang!

4 : Texas Chainsaw 3D : une des scène finales ou le père fratricide des sawyers est éliminé au bord d'un broyeur géant. Il s 'accroche des deux mains et les pâles de la machine sont à plein régime et l'homme à la tronçonneuse lui découpe les poignets. Les mains restent aux bords mais le corps lui, glisse vers le broyeur. Après le broyage du tueur de famille, les mains sont ajoutés à la purée humaine!

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