Nuit

Nicolas Pellion

29 août 2016

Dans la torpeur, une âme inanimée pâlit,

N'attend plus l'illusion du souffle qui délit

Et lève le corps étouffé de nostalgie.


Dans la chaleur, une âme maquillée d'oubli

N'écrit plus l'infini des mots qui la relit

Au corps dépouillé à jamais de sa magie.

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