Au soir sombre que satineront tes mains sur ma peau nue A l'or de ton regard qui découvrira mon corps A mes gémissements déchirant ton silence Je me souviendrais si fort de la première fois.
De la caresse douce de ta voix sur mes maux Du cristal de mes larmes à l'émeraude de tes yeux Et comment tu m'aurais dit : « Viens chez moi si tu veux. Aujourd'hui ou jamais je serai à toi seule ! »
La musique ruissellera entre nos corps blessés Comme le lit profond d'une rivière pourpre Où ton sang et le mien se mêleront enfin En un même calice de velours et de roses.
Dans les méandres de ma mémoire, jamais Une femme comme moi n'avait osé m'offrir L'impudeur innocente du string qui m'entrave Lorsque tes mains fébriles partiront à ma conquête.
Quel talent, madame !
· Il y a plus de 4 ans ·Catherine Dufresne
je suis confuse, merci
· Il y a plus de 4 ans ·marivaudelle
je suis confuse, merci
· Il y a plus de 4 ans ·marivaudelle
Pas tant que moi, menestrel.
· Il y a environ 4 ans ·Catherine Dufresne
Que de niaiseries, monsieur menestrel, pour attirer quelques lectures.
· Il y a plus de 4 ans ·Hannibal Lecteur
C'est beau !
· Il y a plus de 4 ans ·Louve