Pare-feu la vie, parvis
dimir-na
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Encore au balcon en cette saison, des seins réclament la mise en soldes des pompes.
Du cirage aux mirages, diplomates, elles ne sont jamais loin ; l'exercice, la diphtongue ressemble à s'y méprendre, à la perte d'une tong.
Les karmas et non les carmélites désirent sans excès ne plus lasser les pompes funèbres ; rougir avec excès évapore trop simplement leurs larmes.
Du mâle à la femelle, l'exigence reste formelle, si le plancher des vaches est l'endroit où ils habitent, seul le son d'une cloche les remise aux ans chers.
Disciplinés à devenir vers, les cercueils de leurs attentes favorisent la montée des eaux ; les discours fleuves, les silences, noient le futur, leurs enfants.
A s'y méprendre, la pensée de l'ère sous la couverture faite de nuitées, engendre toujours à l'orée, chacun des rêves sans problème.
Aux seins, la nature, aux poires, la pomme d'Adam.
La tendresse
Dimir-na
De la profondeur et des jeux de mots finement posés, excellent !!!!
· Il y a presque 9 ans ·marielesmots