Les jumeaux oubliés

le-maitre-de-la-mort

Chapitre 1: Promenade nocturne. Deux frères jumeaux veulent vérifier une imprécision sur leur enfance. Mais pour ça ils devront violer la loi. Désolé pour les fautes

       Le calme régnait dans la petite commune de Mornant, la journée fut tranquille et sans accident. Il n'y avait jamais de fait très marquant dans la région. Le soleil c'était couché depuis de nombreuses heures et pourtant quelques âmes étaient encore éveiller dans le village. L'une d'elle était le boulanger du coin qui se réveillait pour confectionner les croissants qui allait accueillir les travailleurs les plus matinaux. Mais cette âme, qui se sentait seule il faut se l'avouer, était seulement à quelques centaines de mètres de deux autres, plus jeunes. Ses deux âmes étaient jumeaux et se cachaient derrière un muret qui délimitait une grande propriété.


- Tu es prêt frérot, dit le premier


-Toujours frangin, lui répondu son double


       Les deux frères se relevèrent pour passer la tête au dessus du muret. De leurs positions, ils pouvaient observer une immense pelouse, accompagnée de quelques arbres éparpillés, cette pelouse montée en pente douce vers un vieux escalier en pierre usé. Cette vieille construction donnait sur une bâtisse imposante, décorait du drapeau aux couleur national, percée de somptueuses fenêtres de l'ancien temps. Des projecteurs éclairaient le mot "mairie" écrit en lettre jaune, semblable a l'or.
       A 25 mètres à droite des escaliers usés, un feu de camp éclairer le visage jovial de jeunes qui fêtaient la fin des examens. Les flammes dansaient, les bouteilles se vidaient et les paroles, et rires, s'amplifiait.


Les jumeaux se remetèrent a l'abri dans leur cachette:


- Nous allons courir en direction du terrains de basket pour éviter le groupe, on pourras faire une pause vers la table qu'on a renversés ce matin, puis on file a l'arrière du bâtiment pour prendre l'entrée des employer.


-J'ai un doute quand même, tu n'as pas peur que se soit trop facile, lui dit son frère avec un sourire moqueur.


       Ils se glissèrent alors parmis les ombres, traversant l'immense pelouse. Leurs pas étaient étouffés par le lit  végétale créait par le sol du parc. Ils esquivèrent les arbres qu'ils rencontrèrent, et atteignirent simultanément le terrain de basket en question, la table de pique nique renversé se trouvait derrière un panier et, une fois atteinte, ils pouvaient respirer. Les jumeaux emplirent leur poumons de l'aire nocturne environnent, vérifiant que la bande de jeune étaient toujours concentrée sur leur bouteille, ils repartirent. Mais a peine eu t'ils fient une dizaine de mètres, un des deux frères marcha sur une branche qui craqua :


- Qui est la ? dit une voix féminine derrière un buisson.


- De quoi ? répondit une deuxième voix.


- Tu n'as pas entendu la branche ?


- Mais non, il n'y a rien. Allez viens


       Les jumeaux, qui n'osaient plus bouger, comprirent qu'un jeune couple c'était isolé. Ils repartirent dans le plus grand silence et atteignirent enfin l'arrière du bâtiment. La respiration haletante, ils découvrirent une porte en bois , ou l'on pouvait deviner sa couleur blanche d'autre fois, Cependant, aujourd'hui, il ne restait pas grand-chose de cette coloration d'un autre temps. Seul la serrure, installé il y a peu, contrastais avec l'ancienneté de cette porte.


-Heureusement que le mec était concentrée sur autre chose, il n'as pas remarqué ta boulette, dit l'un des jeune homme.


       Sur cette remarque, l'un des jumeaux s'approchât de la porte pendant que son double se retournait pour surveiller les alentours. Arrivé près de la porte, le jeune garçon s'agenouilla, sortie une pochette noir, pas plus grosse qu'un étui à lunette, de sa poche intérieur, l'ouvrit, sortit une petite lampe de poche et s'en servit pour observer la serrure. Il resta ainsi, pendant trois longues minutes, à l'observer en changeant par moment l'angle d'éclairage. Enfin il l'éteignit et prit deux instruments métalliques, pas plus épais que des stylos. Le reflet de la lune sur la surface de l'instrument illumina pendant un instant le sourire malicieux qui se dessinait sur le visage du jeune frère. Il inséra les fines lames dans la serrure et commença son crochetage, la serrure ne résista pas très longtemps et bientôt un déclic annonça que le voleur avait gagné le duel contre la serrure. Son double et lui-même se dépêchèrent de rentrée dans la mairie, refermant la porte avec mille précautions pour ne pas la claquer et laissèrent leurs yeux s'habituer à la luminosité ambiante, qui était plutôt faible. Les jumeaux se trouvaient à l'extrémité d'un immense couloir, recouvert d'un épais tapis. De nombreuses portes perçaient le mur mais toutes étaient fermées, le monument semblait figé, mort.
Ils se dirigèrent vers un placard qui se trouvait à leurs droites et s'y enfermèrent. Ils s'assirent face à leurs doubles, soupirant de soulagement, heureux:


- J'y crois pas, on n'y est arrivés , souffla l'un deux


-Ouais, confirma le second, on a fait le plus dure.


        Ils étaient assis au milieu d'une impressionnante collection d'ustensile ménager, ou s'aligner balais, pelles ou encore seaux:


- Je penserais qu'il mettraient une alarme après notre visite , il y a six mois, reprit l'un des jeunes hommes, perplexe.


- Nous avions rien fait à part enfoncer la porte, répondit son frère, tu as les plans ?


- Elle était impossible a ouvrir cette serrure moyenâgeuse, grommela le garçon en fouillant dans son sac a dos.


       Il retira des grandes feuilles de papier roulées et les étala entre leurs genoux. On pouvait y observer des plans soigneusement tracés, de fine lignes entrecroisées et des noms marquer dans certains espaces. Le bâtiment y était entièrement décomposé, étage par étage.


-Le bureau des archives se trouve au troisième étage, à coté de celui du maire, à cette heure-ci il devrait être vide mais restons sur nos gardes. On prendra l'escalier principal pour monter jusqu'au premier, puis nous irons jusqu'à l'escalier de service pour éviter les caméras.


       Il suivait avec son doigt une ligne verte et passa d'une feuille a l'autre pour suivre correctement son trajet. Son binôme connaissait déjà le trajet bien sur, mais ne l'interrompit pas. Il savait que ça le rassurai.

       Pendant que se dernier rangeait les plans, son double risqua un coup d'œil à l'extérieur du placard, le couloir était toujours vide. Ils repartirent à pas de loup, profitant de l'épais tapis pour courir sans se faire entendre. Ils montèrent l'escalier principale de se même pas et arrivèrent dans un second couloir identique au premier du rez de chaussée. Cependant au fond de celui-ci, trônait une plante verte qui cachait, en vain, une porte métallique. Un panneau vert indiquer qu'il s'agissait d'une sortie de secoure. Les jeunes intrus traversèrent se couloir en marche rapide et ouvrirent la porte avec délicatesse pour éviter tous grincement. Arrivée de l'autre coté, la décoration était beaucoup plus sobre. Il n'y avait qu'un escalier en ciment nu encadrée de barrière de sécurité de la même couleur. Cette espace n'était que faiblement éclairer et l'un des jumeaux du prendre la lampe torche pour continuer leur ascension.
       Arrivée au troisième étage, ils collèrent leurs oreilles contre le panneaux de la porte et, à leurs grands soulagements, n'entendirent rien. Ils entrouvrirent la porte et se faufilèrent dans l'ouverture. Cependant une triste nouvelle les attendaient, une fine raie de lumière se faufilait sous la porte du bureau du maire. Pourquoi était-il réveiller a une heure aussi tardive ? Combien de temps aller t-il rester ? Fallait t-il renoncer ?
       Prenant ce qui leur rester de courage entre leur mains, ils partirent dans le couloir au ralentit, de peur de se faire repérer. Cependant ils arrivèrent à traverser le couloir, et a passer le bureau du maire, sans problème.
    Le bureau des archives se trouvait à quelques mètres seulement du bureau du maire, la porte restais constamment ouverte, évitant ainsi aux jumeaux de devoir la crocheter. Ils pénétrèrent à l'intérieur et s'enfermèrent. Se laissant glisser sur le sol, ils pouvaient enfin souffler. Des mois de travaille et de repérage récompenser, ils avaient enfin réussi. Un large sourire se dessinait sur leurs visages, ils savouraient leur victoire.

       Après un moment de calme, les deux jumeaux se levèrent et prirent les gros volumes qui les entourait, cherchant une chose très spéciale.
    Durant une demi heure ils cherchèrent sans relâche, passant les fêtes de village et inintéressant plus au naissance et mariage, mais un évènement vint les perturber. Une demi douzaine de policier enfoncèrent la porte, arme a la main et les traina hors de la salle. Une fois dans le couloir, les menottes encercla leur poignée et une voix puissante se fit entendre:
- James et William Fanget, je vous arrête pour violation de propriété privée. 

Signaler ce texte