Beau fruit de chair fendue je lèche ton abeille, son dard court et durci, d'un désir femelle.
De l'index, je fouille ta cache y cueille un miel amer. Sous l'assaut du mâle ta ruche tremble et s'affole, cède s'ouvre et ruisselle sa marée de lait tiède.
Deux doigts compagnons assaillent fourragent, fouaillent rythmant ta moiteur alvéolaire. Dévasté, ton sexe bat des ailes, expire en brutales saccades Son jus et son jouir.
Moi, qui ne suis pas anoure un soir Je serai ton maître-queue.
Ben là, c'est du grand art. Encore une fois tu touches le double-langage. Ça va même jusqu'à utiliser des (presque) néologismes. Une intensité se graduant au fil des paragraphes. Toujours cette subtile montée pigmentée. C'est «excitant» à lire. Un texte «mouillant:-))» une bise, ami
doux et fort, du grand art en effet
· Il y a presque 8 ans ·Catherine Dufresne
Ah ! Si je m'attendais....Un bien joli poème et comme dit Sue : "C'est du grand art !"
· Il y a presque 8 ans ·Louve
Ben là, c'est du grand art. Encore une fois tu touches le double-langage. Ça va même jusqu'à utiliser des (presque) néologismes. Une intensité se graduant au fil des paragraphes. Toujours cette subtile montée pigmentée. C'est «excitant» à lire. Un texte «mouillant:-))» une bise, ami
· Il y a presque 8 ans ·suemai