Toi...

Patrick Gonzalez

Tous ces mots bout à bout, ces vers que j'empile,

ce songe épistolaire, en longues phrases agiles.

ce désir puissant, ce rêve indélébile,

ces quatrains désarmants que la mémoire imprime,

cette prose haletante que le plaisir rime.


Rien ne vaudra jamais, ta bouche ma divine.

A la courbe d'un sein, au soyeux de tes cuisses,

ce merveilleux tourment, lorsque nos corps s'agitent,

se consument, se mêlent aux étreintes propices

succombent et renaissent à l'amour qui s'invite.

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