ROAD TRIP DANS L'AVEYRON PRINTANIÈRE

Philippe Larue

Me Levant à l'Est du soleil, le printemps était réapparu. Kant à la lune, les idées noires y étaient extrémistes. À l'Ouest, Lee, vers un verre solitaire en Gin, Jet Seteur bien qu'il était Deezer et se couchait à minuit à Paris, écoutait déjà Verdi. 

Cette Traviata parfois batavia, fanatisait l'Art dont on ou Danton en disait: un long d'Art d'Art vorace à l'arc-de-Triomphe! Les petits-pois neuronaux officiaient ou plutôt, Chamballenaient mon esprit. Humer Césaire poétiques, importés en import/export du porc des angoisses Angus Deï, était chiffrable. 

Vive le vent en Haute-Savoie à Van Halen, quoique l'Aisne de la cuisse de Jupiter...Bref, raviver le Van Damme y était aussi une sauce aware et ravitailler les pains d'épices, évitait le Rat/Vin divin d'une ratatouille. Au fait ou faitou, connaissez-vous le Rat "Zia" de Zia? Non? Bref, Raymonde y était la ravitailleuse avinée des dix amants. Le rat "Six on Scions" de Léon évidemment, était la tuerie printanière des bouchers, garçons aux temps perdus.  

Comme le Van Halen, Cémoi qui avait les fabuleuses histoires des tablettes de chocolat au riz mica l'orimi, Éden l'eau riz/mie de La Réunion printanière de la fournaise, des fées cabossées. Café l'hiver? Nul navet vu les Racine ce jour-là, ni Jules d'ailleurs. La question des thés, c'était pagode save the Queen. Alors, que Seurat la bise d'Alizée,  Duran...Duran, endurant le Touquet Tockay sept été? 

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