Salutaire dévotion
Jean Claude Blanc
Salutaire dévotion… le culte du beurk…ini !
A Paris-plage hier, crânait une moukère
S'efforçant d'estomper ses fesses et ses gros seins
Arborait vaillamment un burkini austère
De peur d'offenser les djihadistes du coin
Hélas sa roupane était une vraie éponge
A peine trempée dans l'eau, bien prête à se noyer
Maitre-nageur-sauveteur, à lui de faire la plonge
Bouche à bouche obligé, le pratiquant à souhait
Pour la tirer de là, pas une sinécure
Lui ôter sa chasuble, mais sans l'esprit impur
Car c'était pas du goût de ces sombres barbus
Qu'on ose lui enlever les frusques de son cul
Mais un coquin pompier, profita de l'occasion
Bien planqué dans la Seine, le lui mettre profond
En fait gaillardement, lui foutre le doigt dans le fion
Si bien que la femelle trouva ça vraiment bon
Quelle surprise pour elle, jouissance sans égale
Lui malaxer la peau, même pas épilée
Et entre parenthèses, ses secrets bien gardés…
Mais l'autre drôle d'oiseau, robuste l'animal
Tarda pas à bander, pour cette minette fourrée
N'était pas habituée, jouer les femmes fatales
De se faire éplucher avec tant de doigté
Car jusque-là fouettée, soumise à son mâle
Quel bon moment d'extase, à renier Mahomet
Finalement trouvant ça, pour elle vraiment exquis
Que la sirène dévoila, d'un coup tous ses attraits
En se débarrassant de ses attributs trop gris
Le paradis sur Terre, ainsi, se l'ai gagné
La donzelle frustrée, déchainée, pleine de rage
De ce mignon péché en voulait davantage
Refaire péter encore son désuet pucelage
Mal baisée par son mac, vieux berbère sans âge
Hélas sur la berge, veillaient des allumés
Une bande d'islamistes, avides de participer
Se sentant agressés voir ce couple enlacé
Selon leur rituel, ont dû se faire sauter…
Grenouilles de bénitier, faux témoins de la scène
De voir cette sainte, débauchée musulmane
Atteindre ciel sans échelle, même sans aucune gêne
L'imitèrent, balançant leur âme dans les flammes
La morale de l'histoire, passée, même trépassée
Dans le désert aride, des cerveaux dérangés
Aux us et aux coutumes, plus jamais obéir
Petit rien de costume, le nu a de l'avenir
Lapidons plus ces femmes, ces dénommées arabes
Sous leur voile de deuil, inutilement fardées
Ayant ras la burka, que leur tombe sur le râble
Leurs misérables époux, sanglés de TNT
Même les européennes, ne plaignent pas leurs prêches
Se déguisent, se masquent, à la mode daesch
Peut-être est-ce pour séduire, pour mieux les exciter
Ces fous de dieux qui se branlent qu'avec leur pistolet
Artiste en la matière, j'aime à m'imaginer
Les corps de ces déesses, qui se découvrent jamais
Peut-être fait exprès, trop laides ou trop coincées
Stupre et fornication, mon principe désormais
Même en poussant plus loin, le bouchon de la déraison
Sûr que ces religions, possédées du démon
Nous tentent, nous éprouvent, à tout prix croire en Dieu
Sachant que pieusement, tout se termine au pieu
Mais certains obsédés, furieux de la braguette
Traduisent à leur façon la Parole du Prophète
Que d'éjaculations de leurs mitraillettes
Tirant gémissements de ces anges, petites sœurs qui quêtent
Même en ont fait du lourd, à Nices en camionnette
Les Eglises, ces chapelles, en plus d'être des sectes
Nous châtient, nous flagellent, tout tourne autour du sexe
J'en passe et des meilleurs, PD en pres…bytères
A croire que l'on nous vante, fameux péché de chair
Alors à quoi ça sert de se voiler la face
Même si en dessous se cache, défaut de la cuirasse
Féroce notre énergie, pour s'envoyer en l'air
Ce plaisir consommé, vaut bien un coin d'enfer
Trottinent sans faire de bruit, petites souris d'Allah
Pas vraiment réussi, en guise d'anonymat
Hommes, femmes confondus, vous dis pas les dégâts
Aller à la piscine, dans un tel apparat…
Les spectres de Paris-plage, se font suer cet été
Ça doit leur coûter chaud, se faire remarquer
Faut paraitre branché, sur le minaret courant
Sans même connaitre le sens des versets du Coran
Jouer à se flinguer, parfois ça vire au sang
Femmes bronzées nature, profitez du soleil
Ce que vous êtes belles, dans le plus simple appareil
Le burkini poubelle, le bikini merveille
Si vous êtes désirables, c'est Dieu qui l'a voulu
Ne peut pas se dédire, sinon on n'y croit plus
Chef-d'œuvre qu'émane du Ciel, ne peut être qu'une vertu JC Blanc août 2019 (la foi où t'es…)
Il y a 40 ans, les femmes n'étaient pas voiles...cherchez l'erreur !
· Il y a plus de 4 ans ·Louve