Toi, Virginie

compteclos

Je me sens libre lorsque nous échangeons ces quelques mots qui nous lient, Virginie.

Je sais que j'ai pas mal bousillé notre si belle amitié. Mais si, ce soir, je t'écris ces mots ( et nous passerons le fait que je sois sous alcool), c'est pour te dire à quel point tu me manques, mon amie.

Je ne peux me passer de tes mots, de ton sourire que je ne peux frôler de mes phalanges, de ton rire lorsque nous nous laissons entraîner dans nos petites mascarades qui ne font rire que nous.

Virginie, t'écrire. Seulement pour t'écrire. A quoi bon te mentir ?

J'ai causé assez de mal comme cela ces derniers temps. Ta main au printemps et mon cœur en automne. Tu es là. Loin de moi mais si proche à la fois.

Amitié virtuelle que l'on compte sur plusieurs mois de larmes et d'amour.

Amitié bien plus que nécessaire à mon être de jeune femme se cherchant dans un monde en guerre froide.

Je me sens libre lorsque tu guides mes pas de façon raisonnée et bienveillante, Virginie.

Je sais que ce n'est pas facile de me supporter au quotidien, mais,je t'aime. Je te le dirai, je te le chanterai, à tue-tête, après un joint, ou quelques verres de vodka, ou même tout simplement en te regardant dans les yeux. Mon amie de toujours, je te dédie mes plus beaux mots.


À nos mots.

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