Une muse

guegueette

Phase numéro une. Héhé.

Il est si jeune, et si beau. La fougue de son âge me fais miroiter des amusements qui me manquent.  Et il s'est autoproclamé ma muse. Certes, il es vrai que je sens qu'il va en être une. 


Hm. 


Il es si doux, avec sa gueule d'ange, et si délicat dans ses regards. Mais nous savons bien que sous l'ange se cache parfois le démon. Si, si! On le sait, na. 

Dur est de sonder son âme, au travers de ses azurs d'un bleu transperçant et foudroyant. Rien ne passe, rien ne se lis. Une attraction pourtant incroyable s'en dégage. Cette dureté, appréciable, me pousse sans cesse à vouloir me noyer dans ses yeux. 


Et je craque.


Ses fossettes quand il souris, cet air de jeunot qui vous surplombe, vous font retrouver votre jeunesse. Une fraîcheur parcoure le dos.  Oh, non je ne suis point vielle! J'ai pour moi les formes d'une femme séduisante et jeune. 

Mais voilà l'effet qu'il fait, le slave. 


J'apprends le russe. Coïncidence? Hinhin. J'me sens fraîche, ouai. Et c'est appréciable. 


Et c'est à ce moment là, ou l'air débile vous prends, que vous replongez dans les azurs d'un bleu océan.  Troublant. La blondeur des cheveux dans lesquels vous glissez vos doigt vous surplombent. Des bras doux vous entourent. On es bien, là, hein? 


Ma muse m'inspire. Il m'inspire. C'est un viking, qui aime les rituels. Mais il ne le sait pas encore. Vi, vi! 


Et lorsque ses coups de reins vous harcèlent, vous succombez aux plaisirs chaleureux. Vous vous sentez bien, et plusieurs fois. 


Le blondinet... à la chevelure d'or et aux azurs glaçants, est une muse à cajoler. 



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