WELCOME ROUELLE

Philippe Larue

Quel polisson entrée d'Odin en cochonneries littéraires! Welcome rouelle, Houellebecq comme bec-de-corbeau.

Ici, c'est dépravé de bris de mots. On cochonnet à honnête, les cobayes à Bayeux les Harry, et Dessay pécaris aux pèts de nonnes, on est pourceau. Les Sauternes Suzes les sucettes d'hamsters, et le ministère pervers le solitaire Verne, les p'tisanes de verveine de Jules. Welcome rouelle, dégoûtant d'égoûts et l'égouttier payant les truies rouelles gouines.

Je reconnais que j'en ai marcassins seins, tétons y sont zinzins de l'espace. J'ai levé l'encre au porcelet Biolay de Sisley, histoire d'ordurier les ordonnances en vers les ordinateurs Macbeth, un grossier acier.

Tiens, voilà le goret en gore-Tex Avery et ses pécaris. Sagouin du groin des grains gri-gri et Kant Sagan ses Gambetta, l'Omega y est boueuse. Mais, sanglier & Blier, je dois répliquer Descartes salées de Salers.


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