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08-01-08
theo
Je te vois nue,
Les bras croisés sur ta poitrine,
Tes yeux aux reflets irisés de l'opaline
Et ton corps aux magnifiques courbes continues.
Ton âme se meut comme une fée invite à la danse;
Et mon âme brûle de ne pouvoir attendre,
Brûle de ce feu, au foyer immense,
Dont mes larmes même ne peuvent éteindre les cendres.
Tu es si belle parmi les étoiles!
Des profondeurs je te regarde, les yeux clos,
Danser avec les aurores boréales
Et voler mon âme pour l'emmener plus haut.
Cette nuit nous sillonerons les cieux de notre rêve commun,
Et peut-être, cette fois-ci, peut-être m'aimeras-tu demain...
S.
(08/01/08)