1° esquive
penelope
Je me sentais vidée. Je me sentais partir. Mais plutôt partir d'un rêve et enfin réveilée. Je venais de réaliser que ma vie avait foirer, que je passais à côté d'une vie à deux avec mon bébé. J'étais persuader que ma vie ne reprendrais jamais, que j'allais vieillir là , par terre sur mon carrelage à vider mon corps de toutes ses larmes. J'avais déjà vécue ces si grand chagrin, je savais que c'était quelque chose de trop grand , de trop sombre et que pour traversé un désert de solitude dont la seul oasis est faite de mes propre larmes il faut du temps, du courage, et surtout ne jamais cesser d'y croire. A aucun moment. Parce ce que si on ne croit plus, on ne vie plus. On ne sait plus pourquoi on se lève, on ne sait plus dans quel but on mène ce combat. Et c'est usant et difficile d'y croire seule. D'être la seule personne à croire de manière certaine et profonde. Et pourtant un jour on réussit. Et on réalise que c'est une période horrible. Mais on réalise aussi que rien ne vaut la vie.