24 heures, et puis quoi?

Olivier Gucciardi

juste une réflexion

-        24 heures, une suite de secondes, de minutes et d'heures qui définissent une journée. Nous l'oublions, mais sans le savoir, la conscience de la condition humaine se manifeste inconsciemment aux fils des jours.

-        Chaque année, chaque mois, chaque semaine, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde se suivent en même temps que le tic-tac précis du fonctionnement de l'univers, de la galaxie, de notre voie lactée, de notre système solaire, de notre terre, …  Et tout cela ... Vis.

Tout ce qui se trouve entre le ciel et la terre existent et subsistent afin de trouver son propre équilibre et ainsi pouvoir vivre en harmonie entre le ciel et la terre.

-        Tout le monde connaît l'adage qui dit «  ce sont les actes qui définissent ce que nous sommes »… Dernièrement je me suis rendu compte que c'est surtout ce qu'on laisse dernière nous qui détermine et qui définit l'être humain que nous sommes.

-        Je vous parle de Temps, d'univers, d'actes … où est-ce que je veux en venir ? Je ne sais pas, ce que je sais, c'est que vous venez de lire une réflexion d'un homme par rapport à lui-même, c'est-à-dire à un … homme. Qu'est-ce qu'un homme et dans l'absolue qu'est-ce qu'un être humain ? Prochaine réflexion… ce que je sais, c'est que c'est absurde, ... absurde ??? Ne trouvez-vous pas ?

-        Je pense que c'est la bonne période pour faire le point. Nous vivions tous selon un ordre bien organisé de manière personnel. Soudainement, un truc, un bizarre, un sans forme, un double face, une étrange chose s'est installé, ingéré, immiscé confortablement dans nos vies. Un Tueur, un assassin, un mercenaire à la solde du chaos. Un tueur qui arrive à faire cesser des actes politiques international. Il arrive et s'installe, voyage avec vous et tue votre rythme personnel. Il est tellement petit qu'il voyage avec vous, il a de la culture et de la science en lui, il sait se fendre dans la masse, il n'a aucune appréhension et n'est pas raciste. Il aime tout le monde même si tout le monde le haït. Devant n'importe quelle ethnie, unisexe et surtout anti-social, il sépare les plus fragiles et anéantis la réputation de l'un et de l'autre par ses propres tabous.

-        Peu importe ce qu'il est, le constat, c'est qu'il ne fait aucune différence. Nous sommes Tous ses victimes.

-        Réellement ?... en vous écrivant ma TV fonctionne et encore une fois Benjamin Castaldi nous vantes les mérites de son régime. À ce moment-là mon esprit se souvient d'un post sur Facebook qui disait : « quelqu'un peut dire à Benjamin Castaldi qu'on en a rien foutre de son régime ? » J'ai eu une crise de fou rire intérieur… tellement forte que j'en rigolais… intérieurement…

-        Oui, je vous parlais de cet ennemi invisible, impartial, meurtrier et anti social…

-        C'est peut-être ça la vie, fait de moment précis où ce que l'on fait peut-être distrait par ce que l'on pense.

-        Beckket, Samuel Beckket précurseur du théâtre de l'absurde. Le résumé à ce fait serait inconvenant face à l'impact littéraire et artistique qu'il nous a laissé. Un génie, un visionnaire, un survivant, un éphémère, un balcon, un existentialiste, un précurseur de la vision d'un monde qui vit invisiblement dans une réalité bien visible.

-        Réalité ? Qu'est-ce que la réalité ? «  La réalité est relative » nous  dirait Einstein. Une chose se découvre et en même temps on perd un continent.

-        Je pense donc je suis ! Je pense être sur la bonne voie donc je suis sur la bonne voie…

-        Mais…

-        Quelle voie ????

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