à la recherche

Walid Chaieb

1-      Dans le balcon au couché de soleil, il fait chaud, AZAR et sa femme JINENE

AZAR à sa femme :

Je veux arrêter la prière, je n’ai marre de demandé au bon dieu le bonheur. Je me sens  seul, sans dieu ni espoir.

JINENE :

Je vous comprends, depuis 17 ans, après votre bac, tu n’as jamais réussie tes études et bien sûr ta carrière professionnelle.

AZAR :

Ah ! Tu ma rappelé mon fameux passé perdu dans la nature des beaux arts, en posant des questions divinatoire.  Qu’est que je fais ici sans argent, ni une bonne culture artistique et moi j’ai cru après mon 17.5 en dessin technique je vais faire de l’architecture ou du cinéma.

JINENE :

Si vous êtes sincère, tu ma dis que tu n’a jamais vu le bonheur seulement à notre mariage et la naissance de notre fille BOUDOUR. Et pour moi c’est suffisamment bien pour  remercié le bon dieu.

AZAR :

Oui je suis reconnaissant de ce fait, mais je suis malheureux parce que je n’ai pas trouvé mon équilibre professionnel. Est que tu peux m’aider à vous joindre dans l’industrie, je veux travailler avec des hommes durs qui font seulement des efforts physique.

JINENE :

Je t’aime mon mari, mais à ce point, premièrement je ne veux pas travailler avec vous dans un même lieu, deuxièment tu as l’habitude de faire un travail administratif. Et chez nous tu vas trouver que des salos, faisons des combines entre eux et parlons que des gros mots.

AZAR :

Mais ca me convient, j’ai passé ma carrière à entendre les problèmes des femmes, au point que j’ai cru perdre ma virilité et passé à la suicide.

JINENE :

Mais après temps, tu as découvert que vous êtes malade et tu as trouvé l’aide de ta famille et des médecins et vous êtes sous traitement et tous ca c’est reconnaissant au bon dieu qui as ta donné l’amour de ta famille et tu n’été pas seul. Sinon tu va te trouvé dans la rue comme un fous en croyant que vous êtes un prophète comme vous m’avez dis quand tu as tombé malade.

AZAR :

Je ne sais pas quoi dire au sujet de ma maladie, tous que je peux vous dire que je suis encore malade et que cette maladie va me suivre toute ma vie. Et va me donné la possibilité de rêvé jour et nuit d’un monde parfait plein de succès sans obstacle. Mais ca n’empêche que je suis reconnaissant à ma famille qui ma soutenu quand j’ai souffert de ma schizophrénie et ma solitude. A ce jour je me sens seul au monde, qui a perdu ses amis, d’où je me découvre que ne sais pas faire des amis ou je n’ai jamais eu des amis.

JINENE

Ce n’est pas ton problème de perdre des amis. C’est la nature de la vie, chacun a fait sa vie en fondant une famille et le travail j’erre les circonstances de la vie quotidienne.

AZAR

La vie est dur, j’ai passé ma vie a rêvé jour et nuit depuis mon enfance, je suis puni par le bon dieu de me laissé perdu dans la nature, sans aucun réalisme. Je rêve de l’impossible, je suis très pensif, je ne passe jamais à l’action. Je fais tous dans ma tête jusqu’au point de tombé malade.

JINENE

D’après mes connaissances et puisque nous sommes des cousins tu n’as jamais accepté ta vie comme elle est.

AZAR

Oui ta raison, je voix seulement la vie des stars de la télé, dans n’importe quel domaine. Depuis mon adolescence, je ne sais pas choisir mon chemin, je n’arrive pas à me concentré au classe à fin de comprendre mes courts. J’été obsédé par l’argent et les filles.

JINENE

Mais tu n’as jamais demandé à ton père qqch et il ta refusé.

AZAR

Mais c’est ça mon problème je ne sais pas demander. Il  me fait pitié puisque il est un simple fonctionnaire de l’état et qui as cinq enfants dans son cou.

JINENE

Tu as vu la chance de resté dans la famille qui a découvert ta maladie. Et maintenant tu est sous traitement, tu deviens plus sociable et tu as appris à demandé.

AZAR

Je veux quitter le pays pour aller travaillé comme éboueur en France. Je veux s’éloigné des travaux qui demandent un effort mental et du professionnalisme. Et en plus dans l’offre, demande qqn qui a un handicap, et c’est mon cas j’ai un handicap mental.

JINENE

Tu vois, tu pense seulement à tes affaires et a fuir la réalité vers un futur inconnu, tu ne veux pas combattre la vie ensemble. Après avoir fondé une famille tu pense à l’immigration.

AZAR

Oui je suis égoïste.

JINENE

Tu es heureux de le confirmé, comment tu veux que je vis sans votre amour. Tu crois que tu vas trouver le paradis en France, mais eux même les vrais français souffrent de la misère et de la crise économique. Presque la moitié de leurs salaire aille au taxe, même le lait de la vache il est taxé. Et qu’est que tu va faire de ta maladie tu est sous traitement, là bas tu va te trouvé seul tu creuve et va voir si tu va trouvé de l’aide dans un monde pervers où chacun pense à sauvé sa peaux.

AZAR

Mais je suis malheureux je ne comprends pas quoi faire. J’ai passé 13 ans de ma vie dans l’administration tunisienne, pourtant si je retourne au passé, tu va trouver que je n’ai jamais voulu faire de l’administration, mais parce que je suis male cultivé et j’avais des faibles moyens pour faire des bonnes études universitaires. J’ai trouvé seulement le secteur publique à m’accepté.

JINENE

Comme vous m’avez dis tu été obsédés par l’argent, je devine que vous étiez heureux de touché 200 dinars au début de ta carrière et bien sûr tu as sorti de la couverture de ton père. Tu est devenu responsable de ta vie.

AZAR

Oui c’est vrai j’été heureux, mais avec le temps ma tête grossis par mes gros rêve de faire du cinéma. Maintenant je sens vieillir et mes rêves deviennent des mensonges.  

JINENE

Je suis ta femme et je te souhaite le bonheur, mais je peux vous confirmer que vous avez un petit mal chance de choisir un domaine difficile à le joindre celui du cinéma, où les cinéastes et les producteurs font des films chaque 7 ans et à la télé seulement au ramadan ont voient des feuilletons.

  AZAR

Tu as mille raison que j’aime un domaine de rêve plein de promesse et de mensonges.

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