À l'écrit...

beatrice

Le verbe facile, du moins quand je le décide... Je serais plutôt du genre mordant, piquant... Mais à l'écrit en serais-je capable ?

Ça commence bien... je n'arrive même pas a régler les paramètres typographiques.

Donc plus forte en gueule quand écriture. Est-ce normal que le corps de texte soit si grand, ou aurait-on décelé chez moi cette presbytie latente... De plus, j'ai un peu de mal avec ces lettres cursives (mon dieu, faites que cela s'appelle bien ainsi, sinon ma crédibilité va en perdre encore un coup) je préfère les lettres bâtons. Et hop, en voilà un pour me faire battre. J'entends déjà  les commentaires acerbes du genre "mais pour qui elle se prend".

Oui j'ai un pouvoir d'auto-critique assez performant et une capacité à la dévalorisation d'où la réponse suivante : "pour rien, je ne me prends pour rien !"

J'ai envie de tenter l'aventure et je m'en remets à vous pour juger de mon premier exercice à titre complètement personnel. Parce que bien sur qu'il m'arrive d'écrire, il m'arrive par la même occasion d'éprouver le correcteur orthographique. Je veux écrire pour raconter, coucher sur le papier comme on dit... (je suis fan des points de suspension) ma vie, mes expériences, mes impressions... Mais en suis-je seulement capable ?

D'ailleurs ma capacité à écrire ou à me coucher sur le canapé, oups ! le papier ? Lapsus révélateur, au sens propre comme au figuré, puisqu'il aurait très simple de supprimer le maux, zut ! Le mot... 

Argh ! Il va sans dire que j'ai du boulet, décidément ! du boulot !

Je vais y réfléchir et voir si ça vous fait réagir...

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